Cap sur le marché B2B grâce à l’électrification

De toutes les marques de SUV, c’est Land Rover qui possède la plus riche histoire. Et de toutes les marques premiums, c’est Land Rover aussi qui a la gamme la plus authentique. Les chevaux de trait d’antan sont devenus d’élégants chevaux de parade qui font forte impression dans toutes les circonstances.

La fin de la Deuxième Guerre mondiale est arrivée à point nommé pour les frères Spencer et Maurice Wilks. Ils allaient pouvoir proposer une version anglaise de l’immensément populaire Jeep Willys américaine. En 1948, le premier Defender sortait de la chaîne de production, à Solihull. Se distinguant par un concept très simple et une grande polyvalence, le Defender brillait aussi par sa robustesse et sa capacité à être à l’aise sur tous les types de terrain. Aucune pente n’était trop raide, et aucun gué trop profond. Compagnon de route idéal pour les aventuriers, le Defender était aussi un outil de travail indispensable pour les fermiers.

Métamorphose réussie

Quelque 70 ans plus tard, Land Rover a subi une profonde métamorphose, proposant une gamme attractive et complémentaire. Si Land Rover est resté fidèle à ses racines, la marque a aussi massivement investi dans la technologie et l’élargissement de sa gamme. Autrefois utilitaires, ses modèles sont devenus des produits de luxe. Est-ce pour autant suffisant pour faire de Land Rover une marque premium ? PR de la marque, Annick Van Cauwenberge ne doit pas réfléchir longtemps : ” Ce n’est pas la marque qui importe, c’est le client qui détermine ce qui est premium ou pas. Au final, c’est lui qui paye la facture pour la plus-value qu’offre un produit premium en matière de durabilité, d’équipement, de confort, de performances et de prestige. Je considère que le fait que nos parts de marché ont plus que triplé au cours des dix dernières années est une marque de confiance dans les valeurs de notre marque et la qualité de nos produits, mais aussi la confirmation que nous faisons du bon travail. Un produit premium ne suffit pas pour que le succès soit au rendez-vous. Il faut aussi être ‘premium’ dans la relation et la communication avec le client. Nos distributeurs ont investi beaucoup d’argent et de temps pour l’expérience client et la formation de leurs collaborateurs. Ils en cueillent aujourd’hui les fruits. Nos bons résultats le démontrent, même en cette période compliquée avec la crise sanitaire “.

Alors que le marché en Belgique a reculé de 25 pour cent au cours des neuf premiers mois de l’année, Land Rover limite selon la Febiac les dégâts avec 10 pour cent.

Cap sur le marché B2B grâce à l'électrification

Une gamme attractive et équilibrée

Range Rover et Defender sont les porte-drapeaux de la marque et les références dans leur segment. Les modèles les plus vendus sont cependant le Range Rover Evoque et le Discovery Sport, des modèles résolument lifestyle, qui séduisent selon Annick Van Cauwenberge autant le public masculin que le public féminin. ” Tous nos modèles s’identifient clairement comme un Land Rover. Ils possèdent un caractère authentique, un standing supérieur et brillent par leur qualité. Nous ne sommes évidemment pas aveugles face à la transition qui se prépare. Si nous continuons à investir dans l’efficience énergétique de nos moteurs Diesel et à essence, nous misons aussi beaucoup sur l’électrification. C’est nécessaire afin de pouvoir répondre aux normes européennes plus strictes en matière de CO2. Au plus tard l’an prochain, tous nos modèles – sauf un – seront proposés avec une propulsion électrifiée sous la forme d’une version hybride rechargeable. Ainsi, nos modèles peuvent afficher un excellent score CO2 (dès 44 g/km selon la norme WLTP pour le Range Rover Evoque et le Discovery Sport) et peuvent bénéficier d’avantages fiscaux. Voilà qui ouvre des perspectives sur le marché B2B. Aujourd’hui, notre clientèle est équitablement répartie entre les particuliers et les indépendants et entreprises. Notre ambition est de renforcer notre position sur le marché de la voiture de société. L’électrification nous pousse dans cette direction. “

Cap sur le marché B2B grâce à l'électrification

Destination Zero pour une mobilité durable et plus sûre

Land Rover regarde aussi naturellement à plus long terme. Annick Van Cauwenberge le confirme : ” Avec son projet Destination Zero, Land Rover vise une mobilité zéro émission, zéro accident et zéro embouteillage. En plus de développer des voitures ne produisant aucune émission, nous essayons aussi de les produire de la manière la plus durable possible. Nos usines en Angleterre possèdent depuis 2018 une neutralité carbone certifiée. Nous croyons aussi beaucoup dans le concept d’entreprise responsable et l’économie circulaire. Grâce au surcyclage, nous valorisons les anciennes carrosseries pour en faire de l’aluminium de haute qualité. De la sorte, nous réduisons d’un quart nos émissions carbone. Notre deuxième ambition est d’optimaliser la sécurité et de ramener à zéro le nombre d’accidents. À cette fin, nous développons et implémentons des technologies de sécurité innovantes, comme le Driver Condition Monitor qui avertit le conducteur lorsqu’il décèle des signes de fatigue. Le troisième objectif de Destination Zero, c’est zéro embouteillage. Dans le futur, les voitures rouleront de manière autonome et communiqueront entre elles, et avec les infrastructures routières. Au Royaume-Uni, nous avons aménagé une autoroute privée où nous pouvons tester nos innovations dans un environnement réaliste. Notre technologie VE est en avance sur la législation “.

Plus d’informations sur www.landrover.be

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