De la première Coccinelle à l’ID. Buzz : Volkswagen célèbre 75 ans d’importations en Belgique

Volkswagen
Volkswagen
Partner Content

Partner Content met en relation les organisations avec les lecteurs et fait appel aux spécialistes de Roularta Brand Studio pour le texte et les illustrations. Le contenu peut être fourni par le partenaire et n'engage pas la responsabilité de la rédaction.

17 mars 2023, 07:00 Mise à jour le: 21 mars 2023, 14:13

De nombreux Belges apprécient les modèles emblématiques de Volkswagen tels que la Coccinelle, la Golf et le Transporter. Et cette success-story belge, c’est à la vision de Pierre D’Ieteren qu’on la doit. En effet, il y a tout juste 75 ans, il signait le contrat d’importation de la marque Volkswagen pour la Belgique. Aujourd’hui, Volkswagen et l’entreprise D’Ieteren sont confrontés à un autre défi majeur : la transition électrique.

Le 17 mars 1948 est une date importante dans l’histoire de l’automobile belge. Sous l’impulsion de Pierre D’Ieteren, les « Anciens Établissements D’Ieteren Frères » et Volkswagen concluent ce jour-là un accord pour importer en Belgique les véhicules de la solide marque allemande. Pierre D’Ieteren, alors à la tête de l’entreprise familiale, pressent la demande pour une voiture accessible, fiable et économique. Il voit en la petite Coccinelle Volkswagen la manière idéale de démocratiser la mobilité automobile. C’est le début d’un nouveau chapitre pour l’entreprise D’Ieteren, qui à l’époque importe déjà des voitures de la marque américaine Studebaker.

Coccinelles et Transporters belges

En tant que deuxième importateur de Volkswagen dans l’histoire de la marque, D’Ieteren fait partie des pionniers. Seul Ben Pon avait importé 47 Coccinelles aux Pays-Bas un an plus tôt. Les livraisons des premières Coccinelles arrivent en Belgique par la route en 1948. La version de base de la voiture coûte 50.000 francs belges. Avant-gardiste quant à sa conception et sa méthode de production, la Coccinelle connaît un succès retentissant, chez nous comme ailleurs.

Au final, Volkswagen produit 21 529 464 millions d’exemplaires. Et parmi ceux-ci se trouvent de nombreuses Coccinelles belges. En effet, entre 1954 et 1975, la Coccinelle est également construite dans l’usine bruxelloise de D’Ieteren à Forest, aux côtés des Studebaker. Au total, 1 143 664 Coccinelles sortent de la chaîne de montage belge.

La Coccinelle est bientôt suivie d’un autre modèle à succès. À partir de 1950, le Transporter, légendaire minivan de Volkswagen, conçu à partir d’un croquis du Néerlandais Ben Pon, est introduit dans notre pays. Le Transporter est lui aussi produit à Forest :  16 560 exemplaires du Transporter quittent l’usine de Bruxelles entre 1954 et 1962.

Le segment Golf

En 1974, Volkswagen lance la Golf, digne successeur de la Coccinelle. La Golf joue immédiatement le rôle de locomotive et de bestseller de la marque en Belgique. Aujourd’hui encore, cette voiture compacte de taille moyenne – qui en est à sa huitième génération – est la référence de sa catégorie, d’ailleurs également nommée « segment Golf ». En 1976, la première Golf diesel et la version sportive GTI, éléments importants du succès commercial de ce modèle, apparaissent.

Love Bugs Parade

Le fait que la Coccinelle et le Transporter soient encore très populaires dans notre pays aujourd’hui a été démontré récemment lors de la Love Bugs Parade du 12 février. Trois cents Volkswagen se sont rassemblées devant le musée de l’automobile Autoworld au Parc du Cinquantenaire à Bruxelles avant de partir faire un tour dans la ville. « La Coccinelle et le Transporter de Volkswagen ont depuis longtemps dépassé leur vocation première de voitures familiales inusables », déclare Jean-Marc Ponteville, attaché de presse de D’Ieteren. « Ils sont devenus les symboles d’une mobilité universelle, à laquelle les propriétaires ont donné couleur et substance en chérissant et en personnalisant leurs voitures jusqu’à aujourd’hui. » Par ailleurs, à Autoworld, vous pouvez visiter jusqu’au 26 mars l’exposition VW Love Bugs – The Buzz Edition, qui présente non seulement la Coccinelle classique, mais aussi toutes les générations de Transporter ainsi que la nouvelle ID. Buzz.

Vers un avenir neutre en carbone

Avec l’ID. Buzz, Volkswagen a trouvé l’accord parfait entre le passé et l’avenir. Le design remarquable de l’ID. Buzz s’inspire du premier Transporter, ce qui le rend immédiatement reconnaissable en tant que successeur des célèbres minivans. La propulsion est entièrement électrique, ce qui s’inscrit encore une fois dans le plan d’avenir de Volkswagen. En 2019, Volkswagen a innové dans le domaine de la mobilité électrique en lançant l’ID.3. Cette voiture électrique de taille moyenne suit les traces de la Coccinelle et de la Golf, mais dans un contexte environnemental très différent.

L’ID.3 permet une conduite neutre en carbone, à condition que la batterie soit constamment chargée avec de l’électricité verte. « Notre usine de Zwickau (au sud de Berlin, la capitale allemande N.D.L.R.), où les ID.3, ID.4 et ID.5 sont produites, fonctionne de manière neutre en carbone », explique Jean-Marc Ponteville. « Nous réduisons les besoins en énergie et consommons de l’énergie verte provenant d’une source locale et renouvelable. Nous compensons les émissions restantes, comme le transport des voitures vers les concessionnaires. »

D’ici 2050, l’ensemble du groupe Volkswagen a pour objectif de présenter un bilan neutre en carbone. « Volkswagen veut évoluer pour devenir une entreprise zéro émission. Pas seulement en ce qui concerne nos voitures, mais au niveau de de toute l’entreprise. Les visions de Volkswagen et de D’Ieteren sont alignées. D’Ieteren opère déjà de manière neutre en carbone, bien qu’en ayant recours à la compensation. L’étape suivante consiste à réduire les émissions restantes afin d’atteindre tout à fait la neutralité carbone », conclut Jean-Marc Ponteville.

Découvrez plus sur l’histoire de Volkswagen en Belgique ici