Les bulles sont incontournables pour les fêtes de fin d’année mais elles n’affichent pas toutes le même prix.
Vendanges manuelles, techniques de vinification très coûteuses, conditions de stockage, prix des bouteilles en verre plus épaisses… Les explications ne manquent pas pour justifier un coût de production qui peut représenter jusqu’à 30% du prix de la bouteille.
Et même s’il s’affiche à un prix déjà très élevé, le champagne n’a pas échappé à la hausse des prix. Une augmentation qui ne s’explique pas seulement par l’inflation qui a touché tous les composants : les bouchons, le verre, le papier et le transport…
Il faut remonter en 2020, qui a pour le champagne, été une excellente année. Cependant en raison de la crise du coronavirus, les grandes maisons ont craint une forte baisse de la demande et ont donc limité les volumes autorisés.
Alors que 2021 était l’un des plus mauvais millésimes, la demande de champagne a explosé à la sortie de la crise sanitaire, ce qui a eu comme conséquence l’effondrement des stocks dans les caves et donc une augmentation des prix.
“Il devient difficile d’éviter la hausse de prix du produit fini dans ces conditions voire de proposer du champagne à moins de dix euros, comment nous l’avons déjà vu les années précédentes”, explique Nathalie Roisin, porte-parole de Colruyt.
En ce sens, les ventes les ventes de champagnes sont liées majoritairement aux actions promotionnelles. Alors que la consommation totale de champagne stagne durant l’année, elle est multipliée par 4 ou par 5 en décembre chez Colruyt.
Où trouver les promos les plus intéressantes ? Chez Colruyt, à partir de ce mercredi 16, c’est le champagne Montaudon (milieu de gamme, exclusivité) qui sera frappé d’une action -20% à partir de deux bouteilles et -30% à partir de 3 bouteilles. Chez Carrefour, le champagne Charles Lafitte est en offre 1+1 (39,99 € pour 2 bouteilles). Delhaize propose une remise de 25% sur les champagnes Vrancken et une offre 1+1 pour le Premier Cru.
