Neuf entreprises belges ont d’ores et déjà signé des contrats les liant à l’organisation de la Coupe du monde de football au Brésil. D’autres pourraient encore suivre.
Une ou deux autres entreprises pourraient rejoindre bientôt les neuf entreprises belges qui ont d’ores et déjà signé des contrats les liant au Mondial 2014, annonce lundi le SportsTechnology Club (STC), une initiative d’Agoria (la fédération des entreprises de l’industrie technologique) et du Comité Olympique et Interfédéral Belge (COIB).
“Nos entreprises s’imposent petit à petit comme des valeurs sûres dans les compétitions sportives internationales”, se réjouit Peter Demuynck, du SportsTechnology Club. “Neuf entreprises belges ont déjà signé un contrat. Quelques autres entreprises tentent encore de décrocher des contrats dans le domaine du catering et de l’événementiel, des marchés qui ne seront attribués que dans la dernière phase.”
Quelles entreprises ?
Les neuf entreprises déjà impliquées dans l’organisation de la Coupe du monde sont Barco (installation vidéo de sécurité dans le stade de Maracana à Rio), Bekaert (enceinte de sécurité complète dans 6 stades), Desso (fourniture du gazon hybride Desso GrassMaster pour le stade Corinthians de Sao Paulo), EVS (équipement pour l’infrastructure de production live et quasi live de l’événement), Newtec (modernisation des régies mobiles pour TV Globo), Outside Broadcast (fournisseur technique pour la diffusion d’images du Mondial 2014), Philips Belgium (éclairage de 9 stades), Schréder (éclairage de tout le stade Mineirao, éclairage extérieur du stade Maracana à Rio, éclairage de monuments) et Skylane Optics (équipera 4 stades de matériel de télécommunication assurant la conversion des signaux électriques en signaux optiques).
“Nos entreprises ont de plus en plus la cote auprès des organisateurs de grands événements sportifs. La formule qui consiste à ce que les entreprises se présentent de manière collective aux organisateurs au lieu de défendre chacune un dossier individuel contribue grandement à ce succès”, conclut M. Demuynck.
