En images: En vacances, ces objets high-tech qui nous ont changé la vie

Combien de parents les tablettes ont-elles sauvés de la crise de nerfs ? En voiture, en avion, en train, tout est bon dans la tablette pour occuper les enfants. Elle lit des histoires, elle sert de papier à dessin, elle passe et repasse des dessins animés, sans oublier les jeux vidéo.
Qui ne s’est jamais retrouvé à court de pellicule photo au mauvais moment et au mauvais endroit ? Cela se produisait quand même plus souvent que de se retrouver à court d’espace sur la carte mémoire. Et que de désillusions, au tirage, quand les photos étaient ratées…
Les moins de vingt ans qui n’ont jamais connu la vie sans téléphone portable ne se rendent pas compte à quel point ils ont facilité la vie quotidienne, notamment en voyage. Voyons ce à quoi ils ont échappé : au racket du prix à la minute facturé par les hôtels ; à l’achat de cartes téléphoniques; au temps perdu à rester coincé dans son lieu d’hébergement pour ne pas louper l’appel de maman qui s’inquiète…
Les walkmans ont marqué la jeunesse des trentenaires et des quadras. Certainement qu’ils leur rappellent le bon vieux temps… Mais aussi la tonne de cassettes qu’il fallait emporter avec soi en vacances, et le petit bruit caractéristique du mécanisme enrayé par les grains de sable ramenés de la plage…
Dans les musées et les sites historiques, la technologie sans fil Bluetooth a amené… le calme. Un casque et un récepteur portés par les visiteurs, un émetteur porté par le guide, et le tour est joué. Le guide n’a plus besoin de parler fort, les visiteurs peuvent traîner, tout le groupe entend correctement les explications.
Un GPS, ce n’est pas seulement moins d’engueulades en voiture avec son copilote. Cela évite tout un tas de petites galères : trouver une BONNE carte sur son lieu de vacances, déchiffrer des panneaux dans un alphabet différent du sien, évaluer le temps nécessaire pour relier une étape à une autre en montagne, trouver une station d’essence juste avant la panne sans demander son chemin en langage des signes…
Avant, à chaque sortie, le photographe amateur se reposait cette épineuse question : partir léger avec son appareil compact ou jouer le grand jeu avec le réflex, sac au dos obligatoire ou torticolis à la clé. Aujourd’hui c’est plus simple. Le smartphone peut souvent remplacer le compact, et en plus les photos sont partageables directement sur les réseaux sociaux.
Les gros lecteurs le savent, la liseuse, c’est un gain de place. Chez soi comme en voyage. Trois ou quatre livres en moins, c’est un kilo de bagages de gagné. Pratique à l’heure des compagnies low cost qui pinaillent sur le poids des valises.
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