Les 10 pires jobs de 2013

Le métier de journaliste de presse écrite arrive premier des métiers les plus ingrats. Malgré sa forte attractivité et le peu de places disponibles, la profession souffre de précarité, et exige des horaires imprévisibles, du stress, une faible rémunération,…Le secteur de la presse écrite traverse une crise économique sévère.
Si beaucoup de “white collars” rêveraient parfois de passer leur journée au grand air plutôt que derrière leur clavier, bûcheron reste un métier stressant, dangereux, où le taux de mortalité est assez élevé.
On peut facilement s’imaginer le stress que peuvent endurer les soldats déployés dans les zones hostiles de part le monde.
Le métier pourtant très convoité d’acteur fait son entrée dans le top 10 cette année. Gagner sa vie en étant acteur à temps plein se révèle en effet des plus difficiles, la compétition est rude et il reste ardu de percer dans le secteur.
Si cette profession vous fait venir à l’esprit des images du film Breaking the Waves de Lars Von Trier, vous comprendrez pourquoi ce métier exigeant dans des conditions extrêmes apparait dans ce classement. Pour tous ceux qui n’ont pas vu le film, en voici un aperçu.
Les producteurs de lait ont de plus en plus de mal à nouer les deux bouts, en attestent leurs récentes manifestations pour revendiquer une meilleure rémunération.
Voilà un métier pour le moins répétitif et qui offre peu de pespectives d’évolution. Avec l’évolution des nouvelles technologies, ce métier est menacé de disparition.
Les facteurs sont de plus en plus mis sous pression: charge de travail de plus en plus élevée dans un temps de plus en plus restreint, contacts réduits avec les clients lors de leur tournée…il est loin le temps où le facteur sifflait joyeusement dans la rue en distribuant le courrier sur son vélo. De plus, l’utilisation croissant des emails menace leur métier, un rapport signale que le nombre de postiers diminuera de 26% dans les prochaines années.
Le métier de toiturier présente aussi de nombreux dangers dus aux endroits perchés sur lesquels les ouvriers doivent travailler, dans des positions pas toujours très confortables et des conditions climatiques variées.
“Toute ma vie, j’ai rêvé d’être une hôtesse de l’air”, la chanson de Jacque Dutronc ne semble plus vraiment d’actualité. Horaires imprévisibles, longs vols stressants, faible rémunération, les hôtesses de l’air d’aujourd’hui n’ont plus vraiment le coeur à pousser la chansonnette en altitude.
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