Cette innovation intelligente pérennise le secteur de la construction
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Isoler avec des champignons, installer des batteries à eau, assainir des sols pollués avec la technologie des micro-ondes… L’entreprise de construction Cordeel s’oriente résolument et rapidement vers les techniques innovantes les plus durables et les plus intelligentes. ING s’en réjouit, car la banque aime aussi donner un coup de pouce aux entreprises qui veulent pérenniser les bâtiments.
La réalisation, la gestion, l’entretien et le traitement en fin de vie des bâtiments constituent une part importante de l’impact environnemental des entreprises. « Et parce que chaque entreprise, petite ou grande, devra, obligatoirement ou non, rendre compte de ses efforts en matière de durabilité, nous nous engageons en faveur de la durabilité avec le groupe Cordeel », déclare Laurence Gacoin, PDG de C-Energy et C-Innovation. « Par exemple, nous aidons à rendre les bâtiments existants plus durables en examinant la consommation d’énergie, la consommation de gaz et la durée de vie de toutes sortes d’installations. Nous étudions donc comment nous pouvons aider les entreprises à passer à des sources d’énergie renouvelables ou à l’électrification au lieu du gaz. ING contribue à la réalisation de cette ambition , souligne Marc Callier, responsable du développement durable chez ING Business Banking, notamment en proposant un taux d’intérêt plus bas à ceux qui font un effort supplémentaire.
Avec quelque 1 800 employés, des bureaux dans six pays et un chiffre d’affaires annuel de 940 millions d’euros, le groupe Cordeel est l’une des plus grandes entreprises de construction de Belgique. L’innovation, la durabilité et l’accélération sont au cœur de la vision d’avenir de cette entreprise familiale indépendante. Cette stratégie permet aux clients de répondre rapidement aux changements de réglementation et aux demandes du marché, sans pour autant retarder leurs propres objectifs de développement durable. C’est encore plus vrai depuis que Filip Cordeel, CEO du groupe Cordeel, a recalibré la boussole de l’entreprise familiale il y a cinq ans en posant la question suivante : quelle direction devrions-nous prendre pour continuer à réussir dans un monde en constante évolution ?
La réponse réside en grande partie dans les activités dont Laurence Gacoin, CEO de C-Energy et C-Innovation, est responsable : « L’avenir de Cordeel est clair : une entreprise qui ne se contente pas de construire des projets physiques, mais aussi un avenir où durabilité et rapidité vont de pair. En nous concentrant sur la transition énergétique, d’une part, et sur la circularité et la durabilité, d’autre part, nous faisons en sorte que Cordeel soit à l’épreuve du temps, ce qui profitera à l’ensemble de la prochaine génération, ainsi qu’aux clients d’aujourd’hui. Depuis de nombreuses années, nous développons des innovations en matière de matériaux et de technologies. Maintenant qu’elles sont prêtes à être commercialisées ou qu’elles le sont déjà, il est temps de raconter notre histoire. »
Du champignon à l’isolation
Cordeel a commencé à innover au sein de sa propre entreprise, avec des initiatives complémentaires au secteur de la construction ou pouvant être intégrées verticalement. « La question constante au sein de l’entreprise reste la suivante : comment construire plus vite, plus intelligemment et plus durablement ? », explique Laurence Gacoin. « Il est essentiel d’offrir aux clients une solution complète, avec un point de contact unique (single point of contact). Ces solutions vont du “béton vert” à l’énergie renouvelable, en passant par le remplacement des produits chimiques par des alternatives locales et biologiques développées en interne. »
Un exemple surprenant de ce dernier aspect est le matériau d’isolation que Cordeel produit en faisant pousser du mycélium (fils fongiques, racines de champignons) sur du chanvre et en le transformant par cuisson en feuilles préfabriquées pressées. L’isolation 100 % organique est plus efficace pour garder la chaleur et le froid à l’intérieur ou à l’extérieur, et elle est également très performante en termes de sécurité incendie et d’acoustique. Il s’agit d’une alternative durable à la mousse de polyuréthane, notamment, qui est fabriquée à partir de pétrole. Le matériau est prêt à passer du laboratoire de haute technologie à l’application industrielle.
Autres innovations durables signées Cordeel : les batteries de chantier comme alternative aux générateurs souvent surdimensionnés, les tout premiers extincteurs sans fluor, PFAS et PFOS avec des liquides biodégradables, le nettoyage thermique des sols contaminés avec la technologie des micro-ondes au lieu du traitement dans des incinérateurs fonctionnant au gaz naturel, les collines énergétiques ou les batteries à eau… « Nous examinons également l’impact plus large que nous pouvons avoir sur le développement durable de nos clients », explique Gacoin. « Par exemple, si un client dispose d’un terrain, nous pouvons lui suggérer d’y planter des arbres afin d’améliorer son empreinte carbone. Ou bien nous suggérons d’y planter du chanvre, qui peut contribuer à purifier le sol, à capturer le CO2 et à fournir la matière première pour notre matériau de bio-isolation. »
Faisabilité et évolutivité
Un aspect important pour Cordeel est l’évolutivité de l’innovation. « Nous voyons de nombreux projets qui sont innovants et techniquement réalisables, mais qui doivent rapidement mûrir pour une application pratique et à grande échelle. Pour mettre rapidement ces innovations sur le marché, nous travaillons en étroite collaboration avec des instituts de recherche et des partenaires. »
Le secteur de la construction est souvent associé à de faibles marges et à des risques élevés. « C’est pourquoi il est important pour Cordeel de choisir les projets de construction les plus intelligents, où l’accent est mis sur la durabilité et l’innovation », explique Gacoin. « Nous voulons être les plus efficaces, avec la meilleure ACV (l’analyse du cycle de vie qui cartographie l’impact environnemental d’un bâtiment, de la matière première à l’élimination des déchets, en passant par la réalisation et l’utilisation). »
« Grâce aux modèles d’abonnement que nous proposons, tels que energy as a service (l’énergie en tant que service) ou heat as a service (la chaleur en tant que service), nous veillons à ce que l’investissement soit réparti. En outre, cette solution globale offre la certitude que, pendant une période convenue, nous veillons à ce que les installations (production de chaleur, batteries, panneaux solaires, bornes de recharge…) soient rentables et fonctionnent. Résultat : une plus grande tranquillité, une certitude quant aux coûts énergétiques, moins de risques imprévus et moins de dépenses d’investissement (capex) pour le client. »
La banque est le moteur de l’innovation
Laurence Gacoin souligne le rôle des banques en général et d’ING en particulier dans la sensibilisation des entreprises à l’importance des efforts de durabilité. « Elles nous servent d’intermédiaire pour montrer à leurs clients quelles sont les solutions disponibles. La collaboration avec ING a notamment permis de financer un grand nombre de batteries de chantier, qui remplaceront à l’avenir les générateurs diesel. Elles constituent ainsi le moteur qui donne à notre approche renouvelée et à nos innovations technologiques le poids nécessaire. Bien entendu, elles en profitent également, car les banques ne peuvent améliorer leur propre bilan en matière de durabilité qu’en soutenant les entreprises qu’elles détiennent dans leurs portefeuilles sur la voie d’une plus grande durabilité. Cela nécessite non seulement une expertise bancaire, mais aussi une connaissance approfondie du marché et de la valeur intrinsèque des innovations ».
Faire d’une nécessité une vertu
« La stratégie de Cordeel est un bel exemple de la manière dont une entreprise peut faire d’une nécessité une vertu », estime Marc Callier, responsable du développement durable chez ING Business Banking. « Elle voit de nouvelles opportunités dans les défis posés par la transition du secteur immobilier et propose des solutions innovantes. »
ING aide les entreprises à rendre leurs bâtiments pérennes. « Dans le secteur des services en particulier, la part des émissions des bureaux est importante dans l’empreinte d’une entreprise », poursuit Marc Callier. « C’est encore plus vrai pour les entreprises patrimoniales dont la location est l’activité principale. Nous sensibilisons nos clients lors d’entretiens et d’événements. De plus, avec notre Sustainable Buildings Guide, nous offrons aux entrepreneurs une meilleure vision de l’impact des investissements sur les émissions et la consommation d’énergie de leurs bâtiments. »
Les acteurs immobiliers disposant d’un portefeuille important ou ayant des besoins complexes sont mis en contact avec les bureaux de conseil Bopro et Stadim. Ceux-ci soumettent le portefeuille à un audit approfondi et élaborent, avec le client, un plan de transition qui garantit que les bâtiments restent également alignés sur les attentes futures du marché et conservent leur valeur. « Aux clients qui s’engagent à aller plus loin que la réglementation en vigueur lors de la rénovation, nous offrons un soutien supplémentaire en finançant 100 % des investissements énergétiques à un taux d’intérêt attractif », conclut Marc Callier.
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