Galler veut survivre à la crise du cacao

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Galler a multiplié les tuiles après le covid : inondations de juillet 2021 qui ont détruit les capacités de son site de Vaux-sous-Chèvremont, inflation généralisée et problème de salmonelle chez Barry Callebaut, l’un de ses principaux fournisseurs.

Aujourd’hui, la chocolaterie subit de plein fouet l’explosion du prix du cacao et la chute de la production mondiale de près de 40 %. Pour survivre à tout cela et gérer la montée du coût de la fève à 40 % du prix de revient du chocolat, elle a procédé à une augmentation de capital. Il y a, d’une part, une conversion de dette en capital de 7,5 millions d’euros.

D’autre part, une injection de 5,1 millions d’euros en cash, pour investir dans l’augmentation de l’efficacité des processus, aider à absorber la hausse des prix des fèves, financer la poursuite de l’expansion internationale et renforcer le fonds de roulement.

Cette opération modifie profondément l’actionnariat : le groupe qatari Al-Afia passe de 70% à 50,4% et l’ancrage belge grimpe à 49,6% grâce à la montée à bord de Wallonie Entreprendre.


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