Une voiture hybride pour vous servir

© Lexus

De loin le plus grand constructeur au monde de voitures hybrides de luxe, LEXUS a vendu son millionième exemplaire il y a peu. En Suisse, Trends Style a eu l’occasion de se plonger dans le mode de vie de la marque japonaise. Une immersion où il est question de chats en papier, de techniciens en gants blancs et de sens du service.

En 2005, Lexus créait l’événement en lançant le premier SUV hybride du monde, le RX 400. Sa technologie full hybrid était synonyme non seulement d’économies de carburant et de baisse d’émissions de CO2 mais aussi de diminution du coût par kilomètre parcouru. Dans une telle voiture qui, pour sa propulsion, fait usage d’un moteur à explosion (essence, diesel ou LPG) ou d’un moteur électrique, l’un et l’autre sont associés pour garantir une consommation d’énergie réduite. Le système fonctionne entièrement à l’électricité jusqu’à une certaine vitesse, après quoi le moteur à explosion prend le relais. En cas de freinage ou de ralentissement, l’énergie libérée est stockée dans une batterie en vue d’une utilisation ultérieure. Ensuite, le moteur à explosion – toujours à l’essence chez Lexus – charge la batterie si nécessaire. Les petites distances sont parcourues sur le seul moteur électrique, ce qui permet d’économiser 40 % d’énergie en circulation urbaine.

Au contraire de nombreuses voitures électriques, les hybrides se caractérisent par une expérience de conduite souple et dynamique. Fonctionnant avec une capacité de batterie moindre, elles nécessitent moins de batteries, ce qui réduit leur poids. Cela se reflète dans la tenue de route et la dynamique de roulage – comme l’a montré le test à bord du nouveau coupé de classe RC300 h. et de la LS 600 h. (dont une nouvelle génération est annoncée). Par ailleurs, au contraire des hybrides rechargeables, les modèles full hybrid ne doivent pas être chargés. Wim Rommel, nouveau directeur de Lexus Belgium : ” La batterie se charge automatiquement en cours de roulage. Ce qui explique le haut niveau de satisfaction de nos clients à l’égard de ces voitures. “

La plupart des modèles de la gamme Lexus sont aujourd’hui disponibles dans une version hybride.

La plupart des modèles de la gamme Lexus sont aujourd’hui disponibles dans une version hybride. Il n’est donc pas surprenant que 99 % de ceux vendus en Belgique en soient. Les clients ont le choix entre dix modèles – SUV, cross-overs, berlines de sport, coupés et limousine. La gamme s’étoffera l’an prochain d’une LC 500 h. sportive, un coupé haut de gamme équipé du nouveau système hybride multiphases de Lexus – et, dès lors, l’hybride le plus développé jusqu’à présent. Stefan Ramaekers, Senior Technical Trainer : ” Le système hybride multiphases dispose, en plus de la CVT (transmission variable continue), d’une deuxième boîte à quatre vitesses. Il peut dès lors changer de vitesse en moins d’un dixième de seconde, ce qui est très rapide. Il dispose en outre de dix vitesses différentes, ce qui représente une révolution en termes d’expérience de roulage hybride sportive et dynamique. “

LE CHAT EN PAPIER PLIÉ

Tout spécialiste désireux de se faire engager par Lexus doit d’abord réaliser, à partir d’une feuille de papier 12 cm sur 12, un chat en origami (l’art du pliage) à l’aide de la main non dominante, dans l’espace – non sur une table – et en 90 secondes. Ne pas y parvenir signifie être refusé. C’est on ne peut plus clair : une Lexus n’est réalisée que par des artisans qualifiés.

Une voiture hybride pour vous servir
© Lexus

La marque est réputée pour la finition luxueuse de ses voitures. C’est là qu’intervient le professionnalisme des takumi. Ce petit groupe très sélect d’artisans habillés d’une salopette noir et blanc caractéristiques et gantés de blanc, détecte la moindre anomalie. Il garantit aussi la qualité d’un certain nombre de processus propres aux marques de luxe. Le ponçage manuel de la peinture de fond en vue d’une finition irréprochable de la couche extérieure, par exemple, ou la couture manuelle soignée de la sellerie en cuir. Les takumi sont également à l’écoute du moteur. Tourne-t-il avec toute la souplesse souhaitée ? Produit-il exactement la résonance et la tonalité requises ? Chaque artisan possède une expérience de 25 ans au moins dans l’usine Lexus. Et son travail est lui-même contrôlé. Ainsi, celui de l’inspecteur des peintures fait l’objet d’une certification quatre fois par an. Pour éviter toute fatigue et pouvoir continuer à travailler avec le plus de précision possible, les takumi préposés au contrôle de l’alignement des ailes et du capot moteur sur la chaîne de production doivent ” rafraîchir ” toutes les deux heures leur sens du toucher, en faisant glisser leurs doigts sur un certain nombre de pièces alignées parfaitement, afin de mémoriser la ” sensation ” exacte de ces pièces, de posséder littéralement sur le bout des doigts l’art de construire une voiture.

Lexus s’engage aussi dans le monde du cinéma.

L’art n’est pas un concept vain : la marque, encore très jeune (26 ans), s’engage aussi dans le monde du cinéma. Etienne Plas, Senior Manager Corporate Communications de ?Lexus Europe : ” Le Lexus Short Films est un projetqui a été lancé en 2013. En collaboration avec le studio américain The Weinstein Company, Lexus soutient chaque année de jeunes réalisateurs et scénaristes prometteurs qui se voient ainsi offrir la chance de travailler avec une autorité du monde du cinéma, en vue de lancer leur travail et de le diffuser à l’international. “

Cette année, pour la 3e édition, les jeunes cinéastes ont eu pour consigne de réaliser un court-métrage sur le thème de l’anticipation. ” L’idée n’est pas que les artistes réalisent un film Lexus. Nous les laissons libres de leur choix créatif. ” Lexus a reçu pas moins de 4.400 envois. Parmi les quatre finalistesfiguraient Friday Night du Français Alexis Michalik et Messia de l’Australien Damian Walshe-Howling. Dans les mois à venir, les films seront projetés dans divers festivals internationaux, avant d’être présentés ensemble, en novembre, au Napa Valley Film Festival. En mai 2017, ils seront mis en ligne.

Une voiture hybride pour vous servir
© Lexus

La présentation de ce concours de cinéma a eu lieu au Chaplin’s World, nouvellement ouvert à Corsier-sur-Vevey (près de Montreux), et s’inscrit dans l’attention que porte Lexus à l’omotenashi – le souhait que le client ou l’hôte soit en point de mire. Dans le manoir de Ban, la vaste maison de 500 m2 où Chaplin vécut les 25 dernières années de sa vie (y résidant avec Oona, sa dernière femme, et leurs huit enfants), un arbre généalogique grandeur nature, plusieurs centaines de photos (de famille) et nombre de vidéos évoquent des faits clés de son existence, dont ses inculpations pour activités anti-américaines (il fut accusé d’être communiste), ses nombreux voyages et les prix qu’il a remportés.

La longue table y est dressée comme si des hôtes allaient arriver à tout moment. Depuis le salon qui fait la part belle à la passion de Chaplin pour la musique, on jouit d’une superbe vue sur ce domaine de quatre hectares et sur les Alpes. Dans la salle de bains se trouve une figure de cire d’Einstein, ami de la maison. The Studio, un nouveau bâtiment de 1.350 m² situé dans le domaine, évoque en images le monde cinématographique de Chaplin, notamment via des copies de décors de ses films.

LE NOUVEAU LUXE ? LE SERVICE

A l’hôtel quatre étoiles Royal Savoy de Lausanne – point de chute du jour -, rouvert récemment après cinq ans de rénovation, l’omotenashi est également une notion centrale. Alain Kropf, General Manager : ” Dans la catégorie des hôtels se caractérisant par leur belle architecture ou leur design, par la noblesse de leurs matériaux et le luxe de leurs installations, il n’est possible désormais de sortir du lot que par le service et l’hospitalité. Les meubles, les lampes, les tapis peuvent être copiés, mais pas le service. Ancien expat à Hong Kong, j’ai appris à connaître l’hospitalité asiatique. C’est elle que je veux établir dans cet hôtel. Le service, c’est le nouveau luxe. Nous investissons énormément de temps dans la recherche de jeunes qui considèrent que le fait de se mettre au service de son partenaire, de ses parents, de ses amis ou de ses collègues est un signe non pas d’infériorité mais d’une attitude noble. Nous n’engageons que du personnel ayant les hôtes de l’hôtel au centre de leurs préoccupations. “

L’omotenashi fait intimement partie de la culture japonaise et de l’ADN de Lexus.

L’omotenashi fait intimement partie de la culture japonaise et de l’ADN de Lexus. Il exprime le souhait d’offrir à l’hôte ou au client le souvenir d’une expérience inoubliable. Une philosophie à la base de l’engagement de Lexus de traiter sa clientèle en toutes circonstances mieux que tout autre constructeur. Ce service supérieur et cette quête permanente de la satisfaction du client, caractéristiques de Lexus, ont été couronnés à plusieurs reprises par des organismes indépendants.

EAU, AIR, MÊME COMBAT

Depuis peu, Vevey abrite aussi le musée Nest ouvert par Nestlé. Ce centre d’événements de plus de 3.000 m² se trouve à l’emplacement où l’assistant de pharmacie allemand Henri Nestlé développa en 1866 – à la demande de sa femme, particulièrement sensible au taux de mortalité enfantine de l’époque – sa Farine Lactée. Le musée offre une vision en multimédia des 150 ans d’histoire de la maison et de divers produits – KitKat, Maggi, Nescafé… Et traite aussi de la question du rapport entre la production et l’eau, et de celui qu’entretient l’humain avec les sources naturelles. Un thème environnemental cher également à Lexus, pionnier en matière de technologie hybride.

TEXTE ANJA VAN DER BORGHT

http://www.lexus.be

http://www.chaplinsworld.com

http://www.royalsavoy.ch

www.the-nest.ch

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