“La raison après l’émotion?”: la FEB réagit à la grève nationale et souhaite un retour à la table des négociations

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Maxime Defays Journaliste

Le Fédération des entreprises de Belgique souhaite qu’il soit de nouveau possible après la grève de s’asseoir autour de la table des négociations pour conclure un accord interprofessionnel. Son président, Pieter Timmermans souhaite un “AIP basé sur un équilibre entre entreprises compétitives et pouvoir d’achat, plutôt qu’à une détérioration du climat social et sociétal.”

La blocage sur les salaires entre les syndicats et le patronat met le pays en grève ce mercredi 13 février.

De son côté, la FEB a tenu à réagir sur cette journée de protestation. Elle précise espérer qu’après la grève il soit possible de revenir autour de la table et de reprendre les négociations entre partenaires sociaux afin de conclure un accord interprofessionnel (AIP).

“Il y a beaucoup d’instabilité économique et politique en ce moment. Ce serait une bonne chose si les partenaires sociaux pouvaient être un partenaire fiable au sein du tissu socio-économique de notre pays’, affirme Pieter Timmermans, administrateur délégué de la FEB.

“Ma préférence va à une paix sociale résultant d’un AIP basé sur un équilibre entre entreprises compétitives et pouvoir d’achat, plutôt qu’à une détérioration du climat social et sociétal. Le malgoverno observé parmi les partenaires sociaux a assez duré. J’espère que le sens des responsabilités l’emportera afin qu’un AIP puisse encore être conclu.”, explique-t-il.

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