La nature aussi mérite l’excellence
L’entreprise namuroise e-biom se positionne comme un nouvel acteur oeuvrant à la conservation de la biodiversité et la protection de l’environnement, en rassemblant une équipe pluridisciplinaire à haute expertise scientifique.
“e-biom ne représente pas seulement un business mais un projet de vie à part entière”, explique le CEO et fondateur Jonathan Marescaux. Constituée en 2019 de la rencontre de scientifiques aux profils complémentaires, l’entreprise couple l’utilisation de technologies innovantes avec une expertise unique pour apporter des solutions concrètes aux enjeux sociétaux: crise de la biodiversité, protection de l’environnement, transition écologique, crise sanitaire… Recourant à des méthodes d’analyse de pointe, alliant relevés de terrain, biologie moléculaire, expertise en écologie et bio-informatique, cette structure conseille avec rigueur et de manière innovante les acteurs publics et privés afin d’intégrer systématiquement l’écoresponsabilité dans tout type de projets. L’entreprise développe également des outils permettant d’objectiver les actions spécifiques menées en faveur de la biodiversité par chacun de ses partenaires.
“Bien que la prise de conscience des enjeux liés à la biodiversité soit globale, de nombreux acteurs sont encore confrontés à deux obstacles majeurs: un manque d’outils et un manque d’expertise. Ces constats sont au coeur de la mission d’e-biom”, épingle Jonathan Marescaux.
La protection de la biodiversité demeure une thématique stratégique innovante. L’entreprise cherche l’équilibre entre la haute valeur de l’expertise scientifique et la réalité du terrain, afin de développer une offre commerciale complète et intégrée. “Les besoins de nos partenaires ne sont pas entièrement définis. Nous adaptons donc notre offre à leur maturité, afin de les aider à cerner au mieux les enjeux de leur projet en termes de régénération de la biodiversité”, indique Véronique Pire, COO d’e-biom. L’expertise scientifique manque de concret pour certains acteurs économiques, un constat qui a mené à l’engagement récent de Véronique en tant que directrice opérationnelle afin de notamment clarifier le business case d’e-biom et mener des efforts pour rendre attractive son offre à haute valeur ajoutée.
Défis écologiques et économiques
Jusqu’à récemment, l’entreprise wallonne était encore très centrée sur son comportement de spin-off issue de l’UNamur, se souciant de l’obtention de subventions de recherche et de bourses. Actuellement rentable, e-biom s’est fixé pour objectif de passer à un niveau supérieur, en devenant économiquement autonome.
Partenaire de différentes institutions publiques, d’ONG et d’entreprises, e-biom entend élargir ses relations commerciales afin de gagner de plus grands marchés, les étendre à l’international, pour tenter de relever le défi planétaire de la biodiversité.
“La crise de la biodiversité représente une problématique mondiale, qui nécessite des actions locales. C’est pourquoi lors de notre expansion, via la création d’antennes géographiques, nous devons nous assurer de nous entourer de collaborateurs et d’experts locaux ayant des connaissances dans les zones où l’entreprise désire s’étendre“, relate le duo de direction d’e-biom.
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