Alcool au travail : une loi trop peu répressive, pour l’UCM

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Une convention collective fixe, depuis le 1er avril, le cadre à respecter pour l’usage de l’alcool dans toutes les entreprises du pays. Elle a été signée par l’ensemble des partenaires sociaux. Mais pour l’UCM, ce texte “complexe et excessivement préventif rate son but”.

L’Union des classes moyennes juge la législation actuelle sur l’usage d’alcool et de drogue dans l’entreprise trop complexe pas assez répressive, affirme le quotidien Le Soir dans son édition de mercredi.

Depuis le 1er avril dernier, c’est une convention collective qui fixe le cadre à respecter en la matière dans toutes les entreprises du pays. Celle-ci a été signée par l’ensemble des partenaires sociaux. Mais pour Jean-François Krenc, conseiller de l’UCM, ce texte “complexe et excessivement préventif rate son but”.

Selon une étude réalisée en 2004 par Prevent, le coût estimé de l’alcoolisme représenterait chaque année une charge de 2,2 milliards d’euros par an pour les entreprises (maladie, accident de travail, perte de productivité, chômage, etc.). Le Conseil national du travail chiffre le coût pour la collectivité à 7 milliards d’euros.

Trends.be, avec Belga

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