Didier Bellens s'était en effet montré très critique à l'encontre des normes d'émission en vigueur à Bruxelles et à l'encontre de la nouvelle loi télécom. Il avait estimé que la Belgique se distinguait à l'étranger comme un pays hostile aux entreprises. Il avait rappelé que Bruxelles était "l'endroit au monde où l'on compte le plus d'ambassades" puisque chaque pays a trois ambassades dans la capitale: une pour la Belgique, une pour l'Union européenne et une pour l'Otan. "Ces gens-là ont besoin de la 4G et que leur dit Bruxelles? Fuck you...", avait déclaré le CEO. Jean-Pascal Labille avait dénoncé mardi soir, "tant sur la forme que sur le fond", les déclarations tenues par Didier Bellens. Des parlementaires interpelleront à ce sujet le ministre de tutelle jeudi après-midi à la Chambre. L'administrateur délégué a encore tenu à souligner jeudi que "Belgacom se concentre sur son développement, pour rester innovant, maintenir sa profitabilité et ses contributions substantielles à l'économie du pays, à l'avantage de toutes les parties prenantes de la société". (VIM)
Didier Bellens regrette ses propos
(Belga) "Si des personnes ou institutions les ont perçus comme offensants, je le regrette, ce n'était assurément pas leur objectif", a assuré jeudi l'administrateur délégué de Belgacom, Didier Bellens, faisant référence aux propos qu'il a tenus mardi lors d'une réunion informelle à l'occasion de la nouvelle année. "J'espère ainsi mettre fin à ce qui n'a jamais été un début de polémique", a-t-il indiqué dans un communiqué à l'issue d'une rencontre avec Jean-Pascal Labille, ministre des Entreprises publiques.
Didier Bellens s'était en effet montré très critique à l'encontre des normes d'émission en vigueur à Bruxelles et à l'encontre de la nouvelle loi télécom. Il avait estimé que la Belgique se distinguait à l'étranger comme un pays hostile aux entreprises. Il avait rappelé que Bruxelles était "l'endroit au monde où l'on compte le plus d'ambassades" puisque chaque pays a trois ambassades dans la capitale: une pour la Belgique, une pour l'Union européenne et une pour l'Otan. "Ces gens-là ont besoin de la 4G et que leur dit Bruxelles? Fuck you...", avait déclaré le CEO. Jean-Pascal Labille avait dénoncé mardi soir, "tant sur la forme que sur le fond", les déclarations tenues par Didier Bellens. Des parlementaires interpelleront à ce sujet le ministre de tutelle jeudi après-midi à la Chambre. L'administrateur délégué a encore tenu à souligner jeudi que "Belgacom se concentre sur son développement, pour rester innovant, maintenir sa profitabilité et ses contributions substantielles à l'économie du pays, à l'avantage de toutes les parties prenantes de la société". (VIM)