"La banque reste très vulnérable mais la liquidation se poursuit normalement. " Pour quelqu'un qui, en dehors d'un cercle restreint, ne reçoit que peu de reconnaissance pour faire le grand nettoyage, le Coutraisien Wouter Devriendt, 51 ans, est relativement serein. Deux heures d'entretien suffisent à peine pour dresser le bilan de Dexia et donner un aperçu des défis à encore relever. La banque n'est plus la bombe qui menaçait de causer l'explosion financière de l'Etat belge il y a quelques années. Mais si les risques diminuent, ils restent malgré tout considérables. Avec un bilan d'environ 170 milliards d'euros, Dexia est toujours aussi importante que Belfius, la " bonne banque " belge extraite du groupe en 2011.
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"Liquider Dexia, c'est comme démêler un mikado"
La Belgique arrivera-t-elle à sortir de la plus grande crise bancaire de son histoire sans pertes financières ? Tout dépend de Dexia. Et de Wouter Devriendt qui tient les rênes de la banque résiduelle depuis deux ans...
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