Un défaut de paiement complet de la Grèce coûterait 609 euros à chaque citoyen belge, soit un total de 6,825 milliards pour le pays ou 1,69% du PIB, ressort-il d'une étude d'ING Economic Research, qui se base sur les montants prêtés par les pays de la zone euro à la Grèce, via les mécanismes de soutien.
Au total, les pays de la zone euro ont prêté 195 milliards d'euros à la Grèce, soit 108% de son PIB, par l'intermédiaire de ces mécanismes, 53 milliards ayant été versés dans le premier programme d'aide (2010-2012) et 142 milliards dans le second (de 2012 à aujourd'hui). La Belgique a pris à son compte 3,5% de ces montants, ce qui représente un total de 6,825 milliards d'euros.
Néanmoins, un défaut de paiement "à 100%" est "hautement improbable", selon ING qui estime qu'un défaut portant sur 50% des sommes dues coûterait 305 euros à chaque belge. Ce montant serait réduit à 183 euros en cas de défaut limité à 30% et à 61 euros pour un défaut de paiement de 10%.
A noter que l'étude d'ING ne tient pas compte de l'impact qu'aurait un défaut de paiement de la Grèce vis-à-vis de la BCE, ni vis-à-vis du FMI. Elle ne tient pas compte non plus des conséquences économiques plus vastes liées aux incertitudes plombant la zone euro.
Au total, les pays de la zone euro ont prêté 195 milliards d'euros à la Grèce, soit 108% de son PIB, par l'intermédiaire de ces mécanismes, 53 milliards ayant été versés dans le premier programme d'aide (2010-2012) et 142 milliards dans le second (de 2012 à aujourd'hui). La Belgique a pris à son compte 3,5% de ces montants, ce qui représente un total de 6,825 milliards d'euros.Néanmoins, un défaut de paiement "à 100%" est "hautement improbable", selon ING qui estime qu'un défaut portant sur 50% des sommes dues coûterait 305 euros à chaque belge. Ce montant serait réduit à 183 euros en cas de défaut limité à 30% et à 61 euros pour un défaut de paiement de 10%.A noter que l'étude d'ING ne tient pas compte de l'impact qu'aurait un défaut de paiement de la Grèce vis-à-vis de la BCE, ni vis-à-vis du FMI. Elle ne tient pas compte non plus des conséquences économiques plus vastes liées aux incertitudes plombant la zone euro.