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World’s best bars
DANDELYAN (Londres). Un bar-hôtel d'inspiration botanique à Londres. Dandelion est l'équivalent anglais du pissenlit français. Mais que l'on se rassure : les cocktails y sont absolument exquis. La plupart des Belges n'imaginent pas passer une soirée agréable dans un bar-hôtel, mais là encore, que l'on se tranquillise : il suffit de quelques secondes de détente dans l'un de ces grands fauteuils grotesques et colorés, pour se sentir déjà ailleurs. L'expérience aidant, on peut affirmer sans se tromper qu'aucun autre bar de Londres ne dégage une atmosphère aussi évocatrice de James Bond.
© Bombay Sapphire
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Bombay Sapphire
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06-06-2017, 06:36
Mise à jour le: 07-12-2020, 19:14
Source: Newsgate
DANDELYAN (Londres). Un bar-hôtel d’inspiration botanique à Londres. Dandelion est l’équivalent anglais du pissenlit français. Mais que l’on se rassure : les cocktails y sont absolument exquis. La plupart des Belges n’imaginent pas passer une soirée agréable dans un bar-hôtel, mais là encore, que l’on se tranquillise : il suffit de quelques secondes de détente dans l’un de ces grands fauteuils grotesques et colorés, pour se sentir déjà ailleurs. L’expérience aidant, on peut affirmer sans se tromper qu’aucun autre bar de Londres ne dégage une atmosphère aussi évocatrice de James Bond.
© Bombay Sapphire
THE PHARMACY (Knokke). Sans nul doute la ” pharmacie ” la plus agréable de la Côte. Si, à l’origine, l’adresse était tenue secrète, cela n’est plus possible. Tous les amateurs de cocktails y sont passés un jour. La famille Van Ongevalle au grand complet – Jan, Ran, Hannah et Noa – tient le bar, et tous sont des virtuoses, chacun ayant son style et ses préférences propres. A découvrir absolument : leur collection de flacons anciens.
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BAR HIGH FIVE (Tokyo). Le style et l’atmosphère des bars à cocktails japonais sont déjà une expérience en soi. D’autant plus lorsqu’il s’agit du fin du fin : le Bar High Five. Ici, pas de carte. Il suffit d’expliquer ce que l’on aime. Sera alors servi un cocktail classique préparé dans les règles de l’art, avec une petite note créative. Mais la boisson n’est qu’un élément de l’expérience parmi d’autres. Il faut surtout voir Ueno Hidetsugo à l’oeuvre. On croirait assister à une cérémonie du thé japonaise, sauf qu’il s’agit d’un cocktail. Auquel, avec un peu de chance, le maître ajoutera un glaçon en rose ou en diamant qu’il aura ciselé spécialement.
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ATTABOY (New York City). Autrefois, une porte très banale d’Elridge Street s’ouvrait sur le Paradis, ce ” pays où coulent le lait et le miel “. Le Milk & Honey fut un acteur de la renaissance des cocktails : la plupart des ” barchéologues ” sont même convaincus que tout a débuté là. Le Paradis, hélas, a disparu. En lieu et place, deux de ses ex-serveurs ont ouvert l’Attaboy, un bar à cocktails beaucoup plus abordable. Michael McIlroy et Sam Ross ont décidé d’effectuer un virage à 180° degrés en passant du concept de bar à cocktails chic, confidentiel et sélect, à celui de bar de quartier sans carte et sans prétention. Une seule chose reste inchangée : les cocktails sont exquis, ce qui vaut à ce bar de figurer parmi les meilleurs au monde.
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LITTLE RED DOOR (Paris). On ne peut la manquer : il s’agit de la seule petite porte rouge du quartier du Marais à Paris. Ce merveilleux bar à cocktails sur lequel veille l’alchimiste en chef Rémy Savage se classe parmi les meilleurs au monde. A première vue, on pourrait se croire dans un bar simple, chaleureux, proposant d’excellents cocktails. Mais dans l’accueil, le service, les boissons et, très souvent, la belle dose d’audace artistique, se niche une vraie maestria. Ainsi, il y a un an, sa carte avait la forme d’un livret montrant 11 oeuvres d’art. Sans la moindre légende, les oeuvres étant censées refléter le profil gustatif de chaque cocktail. Risqué, tendance et délicieux !
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L’FLEUR (Prague). Prague est un haut lieu du cocktail. Une destination que tout amateur se doit de visiter. C’est également vrai de ce bar dont les cocktails sont de petits chefs-d’oeuvre réalisés avec passion par de sympathiques barmen barbus. Le comptoir, interminable, est divisé en trois compartiments pouvant accueillir chacun quatre clients et un barman personnel. Une expérience hors du commun, à inscrire absolument à son agenda.
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DRY MARTINI BAR (Barcelone). Ouvert officiellement en 1972 comme ” Martineria ” par le légendaire Don Pere Carbonell, il est l’un des bars ayant contribué à la renaissance du cocktail, surtout grâce au tout aussi légendaire Javier De Las Muelas, qui a l’a repris en 1996. Par-dessus le comptoir, un compteur électronique indique le nombre de Dry Martini vendus jusqu’à présent.
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The American Bar (Londres). The American Bar est intégré au Savoy à Londres, hôtel de renommée internationale dont l’entrée est située dans la seule rue du Royaume-Uni où la conduite à droite est obligatoire – mais où, curieusement, les accidents se font rares. Aucun autre hôtel londonien ne dégage une atmosphère aussi typiquement britishque le Savoy. La liste des célébrités qui y sont descendues compterait plusieurs pages. L’American Bar est, lui aussi, unique en son genre. Une capsule temporelle des années 1930, époque à laquelle son barman en chef, Harry Craddock, a vu son livre des cocktails publié. Ce bar doit figurer parmi les destinations obligées de tout qui visite Londres.
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TALES & SPIRITS (Amsterdam). Les Néerlandais de Tales & Spirits se débrouillent plutôt bien. Depuis plus de trois ans, ce lieu figure dans la liste des 50 Meilleurs bars du monde. On peut donc affirmer que ses barmen s’y connaissent dans l’art de ” remuer et secouer “. Très accueillant, ce bar est installé dans une maison dont la première pierre a été posée en 1575. Il regorge d’antiquités et d’objets vintageliés aux cocktails. Ces derniers ne sont pas les seuls à y être délicieux : on y mange également très bien.
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DANTE (New York City). Dante figure aussi depuis quelques années dans le top 50. Ouvert sous le nom de Caffe Dante en 1917, il était à l’origine un bar à café italien situé dans Little Italy, quartier de Manhattan. Cent ans plus tard, on y sert de délicieux cocktails et plats. Dirigé depuis 1971 par Mario Flotta Senior, il exerce un attrait magique, ce dont témoigne l’impressionnante série de célébrités qui l’ont visité : Al Pacino, Alec Baldwin, Whoopi Goldberg, Jerry Seinfeld, Bob Dylan, Anais Nin, Patti Smith et – pourrait-il en être autrement ? – Ernest Hemingway.
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