La plateforme de services fédérale (FSP): l’épine dorsale des échanges de données numériques au sein du SPF BOSA

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06:00 Mise à jour le: 08:30

L’administration fédérale s’efforce de simplifier l’administration et de numériser ses services. Pour atteindre cet objectif, le SPF Stratégie et Appui a investi dans le « Federal Service Platform (FSP) » , qui permet aux organismes publics de partager des données de manière fluide et sécurisée.

Malik Weyns, Gestionnaire de domaine, explique : « Le Federal Service Platform est la plateforme centrale d’échange de données pour l’administration fédérale. Les utilisateurs de données n’ont besoin de se connecter qu’à un seul fournisseur pour accéder à toutes les données pertinentes des organisations fédérales auxquelles ils sont autorisés à accéder. »

Les administrations régionales, les organismes de sécurité sociale et les institutions de soins de santé disposent de leurs propres plateformes d’échange. Grâce à l’interconnexion de ces plateformes, une administration peut échanger des données de manière fluide et sécurisée avec une autre administration connectée à une plateforme, par le biais de l’intégration. Cela a considérablement simplifié les démarches administratives pour les citoyens et les entreprises. « Par exemple, lorsqu’une personne demande un certificat de mariage au guichet électronique de sa commune, l’information est extraite de la base de données du ministère fédéral de la Justice via le FSP », explique Weyns.

3 milliards de messages échangés

L’offre de données continue de s’étoffer, notamment grâce à l’intégration récente de données provenant des notaires. Un nombre croissant de démarches administratives sont désormais gérées numériquement, y compris via des portails en ligne dotés de fonctionnalités en libre-service. « Le volume de messages échangés via notre plateforme a décuplé ces cinq dernières années, pour atteindre environ 3 milliards de messages par an », explique Weyns. « Cette augmentation significative a engendré une charge supplémentaire sur nos systèmes. Toutefois, grâce à notre préparation et aux améliorations continues apportées à la plateforme, aucun incident majeur ni aucune dégradation de la qualité de service n’ont été constatés. »

Malik Weyns, SPF BOSA.

Cette plateforme de services constitue le socle de la transformation numérique de l’administration, utilisée non seulement par le SPF BOSA, mais aussi par d’autres services fédéraux, régionaux et locaux. La transformation numérique ne se résume pas à la technologie ; il s’agit avant tout d’une utilisation intelligente de l’information pour concevoir des solutions plus efficaces et plus conviviales pour les citoyens.

Grâce à nos préparatifs et à nos améliorations continues, notre plateforme FSP peut facilement traiter 3 milliards de messages par an.

Malik Weyns, SPF BOSA

Cette transformation au SPF BOSA a été guidée par le bureau de services informatiques Inetum. En tant qu’intégrateur et partenaire technique, Inetum a fourni une plateforme stable, sécurisée et évolutive. Stefan Smeets, Business Unit Lead chez Inetum, déclare : « Il s’agit d’un beau exemple qui démontre comment les organisations peuvent créer un système d’échange de données évolutif qui améliore la qualité de leurs services. »

Le cloud : un catalyseur d’innovation

Alors que les solutions cloud gagnent en popularité dans les secteurs public et privé, le SPF BOSA a délibérément opté pour une approche hybride, la Federal Service Platform fonctionnant en grande partie sur site. Pour de nombreuses organisations, le cloud est un catalyseur d’innovation. Les clouds publics, tels que Microsoft Azure – la plateforme la plus utilisée en Belgique – offrent aux organisations la possibilité d’évoluer rapidement, de bénéficier d’une cybersécurité avancée et de se conformer aux réglementations. Le cloud facilite le déploiement de solutions innovantes en tant que service et transfère les coûts vers un modèle de paiement à l’usage, favorisant ainsi l’innovation.

Stefan Smeets, Inetum.

Ces dernières années, une stratégie « priorité au cloud » a souvent été considérée comme le scénario idéal pour l’avenir des infrastructures informatiques. En pratique, cependant, les organisations ont besoin de différentes formes de cloud pour répondre au mieux à leurs besoins spécifiques. Par conséquent, influencés par de nouvelles perspectives, les réglementations et les exigences commerciales, les clients optent de plus en plus pour des stratégies hybrides et multicloud.

Le cloud n’est pas une fin en soi, mais un moteur d’innovation, alimenté par les plateformes de données, l’IA et l’automatisation.

Stefan Smeets, Inetum

Le cloud n’est pas une fin en soi, mais un moteur stratégique d’innovation. Les architectures modernes de données et d’applications sont souvent natives du cloud, ce qui offre une plus grande flexibilité, agilité et évolutivité. Des technologies telles que les plateformes de données, l’IA générative, l’apprentissage automatique et l’automatisation poussée sont les moteurs de cette innovation. Cela permet aux organisations d’accélérer leurs processus, d’exploiter leurs données plus intelligemment pour obtenir des analyses plus approfondies et de développer de nouveaux services numériques qui créent une valeur ajoutée immédiate pour les citoyens, les clients et les utilisateurs finaux.

Inetum accompagne les organisations dans leur transformation numérique grâce à son expertise en projets cloud et sa vaste expérience du cloud Microsoft (Azure). Cela permet de créer des architectures flexibles et adaptées aux besoins des clients, où le coût, l’évolutivité et la souveraineté sont essentiels, et où la sécurité est intégrée dès la conception. L’objectif ultime : accélérer l’innovation grâce aux systèmes natifs du cloud et à l’intégration de l’IA et de l’automatisation.

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