CEO Xavier Bouckaert sur la stratégie de développement durable du groupe Roularta
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Les entreprises qui prennent des mesures en faveur du développement durable n’osent pas toujours en parler. Elles se disent qu’elles ne vont pas encore assez loin, ou elles sont confrontées à certains problèmes. Pourtant, la communication sur la durabilité est un must, ne fût-ce que pour inciter d’autres entreprises à s’engager dans la même voie. Car la transformation durable est un défi qui nous concerne tous. C’est pourquoi nous ouvrons cette série en témoignant de nos propres efforts au sein de Roularta Media Group.
Roularta Media Group est un acteur majeur du paysage médiatique, grâce notamment à ses magazines à succès Trends-Tendances, Le Vif ou encore Femmes d’Aujourd’hui. Qui plus est, le groupe n’est pas uniquement actif en Belgique, mais aussi aux Pays-Bas et en Allemagne. Xavier Bouckaert, CEO depuis 2016, répond à nos questions sur la stratégie de développement durable du groupe et sur l’importance de la communication.
Depuis quand et pourquoi la durabilité est-elle un « hot topic » chez Roularta Media Group ?
Xavier Bouckaert : « À vrai dire, la durabilité a toujours fait partie de notre ADN. Notre entreprise familiale veille depuis sa fondation à la qualité et la crédibilité de ses marques. Tous nos titres médias doivent procurer une valeur durable aux parties prenantes, y compris les lecteurs et les annonceurs, voire à l’ensemble de la société. C’est une préoccupation qui est partout à l’œuvre et qui n’a cessé de croître avec les années.
En même temps, depuis 2021, nous accordons une place encore plus grande à la durabilité. Pour ce faire, nous avons mis sur pied la stratégie Roularta Cares en nous basant sur les 17 objectifs de développement durable (ODD) définis par les Nations unies. Quatre de ces ODD s’appliquent directement à nos activités. Ils constituent désormais pour nous une priorité, et ils le resteront au cours des années à venir. »
Quels sont les objectifs de développement durable auxquels vous souhaitez contribuer activement ?
Xavier Bouckaert : « Je citerais en premier l’éducation de qualité. Nos médias contribuent à l’émergence de générations plus intelligentes et plus conscientes grâce à des informations fiables et pertinentes ainsi qu’à des activités qui encouragent des comportements durables.
Ensuite, nous incitons nos employés à s’épanouir dans un cadre de travail attrayant et familial, en mettant l’accent sur le bien-être et le respect de la singularité chacun. C’est ainsi que nous répondons à l’objectif relatif au travail décent et à la croissance économique.
En ce qui concerne la production et la consommation responsables, nous choisissons délibérément des partenaires partageant notre vision. Cela concerne notamment notre choix des fournisseurs de papier et d’encre. Tous doivent signer notre charte de durabilité.
Dernier point d’attention : la lutte contre le changement climatique. Nous visons la neutralité carbone à l’horizon 2040 et nous engageons en faveur d’un environnement vert et d’une plus grande biodiversité. »
Notre stratégie gagnante en matière d’ESG ? Diminuer notre empreinte carbone et accroître notre empreinte cérébrale
Comment avez-vous sélectionné ces objectifs ?
Xavier Bouckaert : « Chaque entreprise doit se demander comment elle peut avoir le plus fort impact en matière de durabilité. En ce qui nous concerne, il s’agit avant tout de notre « empreinte cérébrale », du rôle que nous pouvons jouer grâce à nos médias. Nous touchons chaque semaine des millions de lecteurs et souhaitons les informer sur tous les aspects liés à une vie et une société plus durables. Nos rédacteurs s’engagent à consacrer au moins 2 000 articles par an à ces thématiques. En fait, nous dépassons largement cet objectif. Nous orchestrons aussi des campagnes qui rencontrent un beau succès, comme « En mai tonte à l’arrêt » de l’hebdomadaire Le Vif ou les Trends Impact Awards.
Le deuxième volet concerne l’empreinte carbone, un élément important dans de nombreuses entreprises. Notre empreinte carbone est surtout liée à la conception, l’impression et la distribution de nos magazines. C’est pourquoi nous prenons des mesures concrètes pour réduire nos émissions de CO2. En 2023, nous avons investi 4,5 millions d’euros dans notre imprimerie, installé 3 500 panneaux solaires supplémentaires et choisi des encres à faible teneur en huiles minérales. Il va de soi que nous travaillons uniquement avec du papier provenant de forêts gérées durablement, portant le label FSC ou PEFC. Le papier journal est invariablement recyclé et nos magazines sont de plus en plus souvent emballés dans du papier au lieu d’être envoyés sous blister. »
Comment communiquez-vous sur ces initiatives ?
Xavier Bouckaert : « Nous avons tout d’abord publié dans nos médias un manifeste sous le titre Roularta Cares. Ce document détaille nos ambitions et nos priorités d’action. Mais cela ne suffit pas, car il faut constamment communiquer sur ce thème. Nous nous efforçons de parler le plus souvent possible des efforts que nous entreprenons, notamment sur notre site web.
Ce travail de communication nous paraît essentiel pour montrer l’exemple et inspirer d’autres entreprises. Nous sommes tous concernés et il n’y a aucune concurrence qui vaille dans ce domaine. La transformation durable est un défi à relever tant par les individus que par les pouvoirs publics et les entreprises. Nous poursuivons tous le même objectif : laisser une planète viable aux générations futures. D’où notre devise : ‘One team, one family, one planet’. »
Vous voulez en savoir plus sur les efforts de Roularta en matière de développement durable ? Visitez Roularta Cares.