Focquet : L’histoire familiale se poursuit avec la 4e génération

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Créée il y a 130 ans, l’entreprise Focquet est un exemple en matière de transmission familiale. Récemment, Sixtine Focquet a repris la société de son père. Un passage qui a été bien préparé. « Cela reste un processus assez exigeant car il faut également pouvoir gérer l’aspect humain. »

Sixtine Focquet est COO de l’entreprise gembloutoise, leader belge dans la vente et la customisation de moteurs électriques industriels.
« L’entreprise a été fondée en 1892 par mon arrière-grand-oncle. A l’origine, la société était basée à Bruxelles et fabriquait des machines à vapeur et à gaz. Elle a ensuite évolué vers les moteurs électriques et le développement de sa propre gamme de moteurs électriques neufs. L’entreprise est active aussi bien dans la fourniture de moteurs standards que dans l’adaptation et la modification de moteurs. »

Focquet exporte dans plus de 50 pays différents. Qui sont vos clients ?

Sixtine Focquet : « Il y a les bobiniers et les revendeurs qui distribuent nos produits, réparent les moteurs ou font la maintenance. Nous collaborons également avec des clients finaux industriels, tels que les carrières ou les papeteries. Notre stock de plus de 20.000 moteurs et notre réactivité sont des atouts précieux pour répondre rapidement à des situations d’urgence. Enfin, nos clients sont aussi les fabricants d’équipements d’origine (OEM). »

A 30 ans, vous incarnez la 4e génération. Pourquoi avez-vous choisi de reprendre l’entreprise familiale ?

Sixtine Focquet : « Mon père gère la société depuis plus de 40 ans et j’ai rejoint l’équipe en 2022. Je suis ingénieure de gestion, et j’ai travaillé comme consultante dans la finance avant de rejoindre l’entreprise familiale. Aujourd’hui, nous en sommes au stade de la reprise. Mon père ne m’a pas forcé la main. Ma décision a été bien réfléchie. J’ai vu cette possibilité comme un challenge, avec l’avantage de le vivre dans un contexte familial. »

Comment se passe le processus de transmission ?

Bruno Focquet : « Je suis là pour aider Sixtine car il est impossible de tout maîtriser immédiatement : la logistique, les achats, les RH etc. J’ai travaillé ici pendant 42 ans et je souhaite que l’entreprise continue à se développer. Sixtine apprend vite et défend très bien la société. Dans deux ans, j’espère pouvoir profiter de la vie. Personne n’est irremplaçable. »

Sixtine Focquet : « La transmission d’une entreprise, c’est un processus passionnant : on apprend énormément. Mais cela reste un processus assez exigeant car il faut pouvoir gérer tant l’aspect humain que les aspects financiers, juridiques et organisationnels. Nous avons tout mis en œuvre pour bien communiquer avec nos partenaires, identifier les besoins de chacun et avancer étape par étape. »

La banque CBC vous a accompagné. En quoi leurs experts ont-ils été de bon conseil ?

Sixtine Focquet : « La banque CBC a été présente dès la première discussion sur une éventuelle transmission intrafamiliale. Nous avons travaillé ensemble sur la valorisation de l’entreprise, sur différentes propositions de montage financier et sur la concrétisation du projet. CBC a très bien compris le cadre familial et nos besoins, et a trouvé une solution adaptée à ce contexte. La banque avait la réponse à toutes nos questions, qu’elles soient financières ou juridiques. »

Bruno Focquet : « CBC s’est montrée flexible au fur et à mesure de l’évolution du projet. Nous avons beaucoup apprécié que la banque nous consacre du temps pour affiner notre vision de l’avenir. »

Comment envisagez-vous l’avenir de l’entreprise Focquet ?

Sixtine Focquet : « Les moteurs changent assez peu. Ce qui change, ce sont les normes énergétiques. L’entreprise va donc évoluer. Je veux m’entourer d’une équipe stable mêlant l’expérience et l’héritage, tout en laissant la porte ouverte à de nouvelles idées. Je suis également heureuse de pouvoir compter sur l’appui de CBC pour une communication transparente sur tous nos projets futurs, que ce soit pour sécuriser nos opérations ou pour nous conseiller sur notre stratégie future. »

CBC avait la réponse à toutes nos questions, qu’elles soient financières ou juridiques

L’expert

Nicolas Charlier

« Transférer et pérenniser son entreprise en restant fidèle aux valeurs de celle-ci est une préoccupation de taille pour les dirigeants. Outre les éléments financiers, juridiques et techniques, nous devons également tenir compte des aspects émotionnels que génère une telle démarche. La parfaite compréhension du business model et des aspirations des dirigeants est également essentielle à nos yeux. Cela nous permet de proposer un encadrement parfaitement adapté, des premiers entretiens jusqu’à la finalisation de la transaction. Si je ne devais donner qu’un conseil aux patrons qui envisagent une cession, ce serait d’anticiper à la fois la structuration, l’organisation de la société mais aussi son positionnement sur le marché », explique Nicolas Charlier, Directeur Général du Marché des Professionnels et Entreprises chez CBC.