Entretien d’embauche : les questions les plus loufoques

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Un crayon dans un mixer, des ballons de basket et des M&Ms… Plutôt déconcertant !

Pour tester les candidats lors des entretiens d’embauche, les recruteurs ont parfois recours à des questions piège pour évaluer leur réactivité, leur capacité à s’adapter dans une situation déconcertante ou leur habilité à rebondir. Le site américain Glassdoor vient de publier son palmarès des questions les plus bizarres posées en entretien. Florilège.

Question de survie : “Si vous faisiez la taille d’un crayon et qu’on vous introduisait dans un mixer, comment feriez-vous pour vous en sortir ?”, posée par Goldman Sachs.

Question de point de vue : “Entre 1 et 10, à quel point êtes-vous taré ?”, posée par Capital One.

Question de taille : “Combien de ballons de basket pouvez-vous mettre dans cette pièce ?”, posée par Google.

Question de prix : “Une pomme coûte 20 centimes, une orange coûte 40 centimes, une grappe de raisin coûte 60 centimes. Combien coûte une poire ?”, posée par Epic System.

Question de temps : “Combien de questions devez-vous poser pour découvrir un nombre entre 1 et 1.000, sachant qu’on ne peut vous répondre que par plus haut ou plus bas ?”, posée par Facebook.

Question d’avenir : “Que feriez-vous si héritiez de la pizzeria de votre oncle ?”, posée par Volkswagen.

Question lourde : “Comment pèseriez-vous un éléphant sans utiliser de balance ?”, posée par IBM.

Question de pouvoir : “Si vous pouviez être un super-héros, qui aimeriez-vous être ?”, posée par AT&T.

Question de goût : “Comment sont fait les M&Ms ?”, posée par US Bank.

Trois conseils pour vous en sortir

1. Demandez-vous pourquoi on vous pose cette question. Les recruteurs n’ont pas de temps à perdre, il y a donc souvent un but caché derrière ces pièges. Le comprendre vous permettra de mieux cerner la réponse qu’il attend.

2. Ne dites pas à un recruteur que cette question n’a aucun intérêt. Mieux vaut rester calme : cela lui montrera que vous ne vous laissez pas décontenancer facilement.

3. Si la question n’appelle aucun réponse sensée, faites preuve d’humour. Le recruteur ne s’intéresse pas à votre réponse mais à la manière dont vous accueillez la question.

L’Express.fr

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