Au Cambodge, le dur labeur des fabricantes de chaussures (en images)
“C’est moi qui ramène principalement l’argent dans la famille“, explique-t-elle à un photographe de Reuters qui a passé quelques jours avec elle dans son village de sud-ouest de la capitale cambodgienne Phnom Penh.
Chaque jour, elle fait le trajet avec ses collègues dans un pick up qui l’emmène à l’usine Complete Honour Footwear Industrial, propriété d’une entreprise taiwannaise. Elle gagne 240 dollars par mois en fabricant des chaussures pour des marques américaines, britanniques et japonaises.
Le soir, il fait déjà noir quand elle rentre chez elle. Elle attend alors son mari en faisant à manger. Ce dernier travaille en interim dans une entreprise de construction.
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