Au fur et à mesure qu'on se rapproche de la date fatidique du Brexit, c'est-à-dire le 29 mars, les Britanniques sont de plus en plus nerveux et ont peur de manquer de salades ou de produits frais. Mais cette peur, du moins à court terme, est exagérée. C'est ce que nous explique Amid Faljaoui, notre chroniqueur éco.