Tony Blair, un Al Gore “so british”

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“Résoudre la crise du climat est plus qu’un sujet politique parmi d’autres, c’est une priorité urgente qui nécessite innovation, créativité et ambition”, assène Tony Blair, qui agira, auprès du capital-risqueur Khosla Ventures, en tant que conseiller stratégique en matière d’investissements durables. Une corde de plus à son “arc climatique”…

Tony Blair a rejoint la société de capital-risque californienne Khosla Ventures, spécialisée dans les investissements dans des technologies vertes, en tant que conseiller, a annoncé lundi l’entreprise.

L’ancien Premier ministre britannique “apportera le poids de son soutien aux questions d’environnement et son carnet d’adresses international pour aider les nombreuses compagnies spécialisées dans les technologies propres que soutient Khosla à atteindre leurs objectifs en matière écologique”, indique dans un communiqué la société, installée dans la Silicon Valley.

Créée en 2004 par Vinod Khosla, cofondateur de Sun Microsystems, la société soutient des projets dans les énergies solaire, éolienne et nucléaire ainsi que dans les moteurs propres. Elle soutient aussi des jeunes entreprises du secteur de la téléphonie mobile et de l’Internet.

“Résoudre la crise du climat est plus qu’un sujet politique parmi d’autres, c’est une priorité urgente qui nécessite innovation, créativité et ambition”, commente Tony Blair dans un communiqué. Selon Khosla, l’ancien Prime Minister aura un rôle de conseiller stratégique auprès de la société en matière d’investissements durables. L’ancien responsable travailliste britannique est très impliqué dans la lutte contre le réchauffement climatique et dirige l’initiative ‘Breaking the Climate Deadlock’ (“vaincre le blocage climatique”), qui vise à amener les dirigeants mondiaux à coopérer pour lutter contre le changement climatique.

Trends.be, avec Belga

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