Goldorak et ses amis passent sous le marteau

© PG

Une vente qui a pour thème ” Les années Goldorak ” au sein de la très respectable maison Cornette de Saint Cyr n’a rien d’étonnant. Le robot aux grandes cornes jaunes est devenu une madeleine de Proust pour toute une génération qui a grandi avec Récré A2. Face à un marché du 9e art qui fait les beaux jours des adjudications, il était prévisible qu’un jour ou l’autre, les gouaches de Dragon Ball, les celluloïds à l’encre de Chine des Mystérieuses Cités d’or, les crayonnés d’ Albator ou les story-boards de Dragon Ball se retrouvent sous le marteau. C’est chose faite.

Considérée avec le recul comme une épopée écologiste, la série Goldorak, diffusée chez nous pour la première fois en 1978, est devenue un objet d’études universitaires à part entière. Le célèbre cyborg des mangas s’octroie près d’un quart des 233 lots de la vente qui se déroulera le 6 juin prochain à Paris (les ordres d’achat par Internet sont possibles). L’intérêt ? Le prix des oeuvres, encore très accessible (250 euros en moyenne selon les estimations) et qui pourrait bien flamber d’ici quelques années…

250 euros

Prix moyen des lots de la vente aux enchères du 6 juin prochain dédiée aux héros de l’âge d’or de l’animation japonaise.

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