En images: le luxe est toujours un écart
Par définition, une marque de luxe vise à atteindre une forme d’excellence et de perfection. Voilà pourquoi, selon l’experte en stratégies de marques Marie-Claude Sicard, la mise en scène de nombreuses pubs de prestige présentent un côté délibérément aérien qui élèvent littéralement la marque pour la rapprocher du divin. Du “cheval ailé” de Hermès à la panthère de Cartier qui voyage sur les toits de Paris dans un spot majestueux de 3 minutes 30, en passant par Louis Vuitton qui a jadis utilisé la montgolfière et mettra en scène une girafe dans sa prochaine campagne printanière, les labels qui utilisent cette notion d’écart vers le haut se placent résolument au-dessus de la mêlée.
Par définition, une marque de luxe vise à atteindre une forme d’excellence et de perfection. Voilà pourquoi, selon l’experte en stratégies de marques Marie-Claude Sicard, la mise en scène de nombreuses pubs de prestige présentent un côté délibérément aérien qui élèvent littéralement la marque pour la rapprocher du divin. Du “cheval ailé” de Hermès à la panthère de Cartier qui voyage sur les toits de Paris dans un spot majestueux de 3 minutes 30, en passant par Louis Vuitton qui a jadis utilisé la montgolfière et mettra en scène une girafe dans sa prochaine campagne printanière, les labels qui utilisent cette notion d’écart vers le haut se placent résolument au-dessus de la mêlée.
Par définition, une marque de luxe vise à atteindre une forme d’excellence et de perfection. Voilà pourquoi, selon l’experte en stratégies de marques Marie-Claude Sicard, la mise en scène de nombreuses pubs de prestige présentent un côté délibérément aérien qui élèvent littéralement la marque pour la rapprocher du divin. Du “cheval ailé” de Hermès à la panthère de Cartier qui voyage sur les toits de Paris dans un spot majestueux de 3 minutes 30, en passant par Louis Vuitton qui a jadis utilisé la montgolfière et mettra en scène une girafe dans sa prochaine campagne printanière, les labels qui utilisent cette notion d’écart vers le haut se placent résolument au-dessus de la mêlée.
Lorsqu’une marque de luxe veut affirmer sa différence par rapport à la norme ambiante, rien de tel que de faire un sérieux pas de côté, comme par exemple Prada qui a installé en 2005 une boutique minimaliste en plein désert texan, aux Etats-Unis, le long de la route 90, ou comme le duo Viktor & Rolf qui a inauguré un superbe point de vente “à l’envers” au centre de Milan avec des sols devenus des plafonds et inversement.
Lorsqu’une marque de luxe veut affirmer sa différence par rapport à la norme ambiante, rien de tel que de faire un sérieux pas de côté, comme par exemple Prada qui a installé en 2005 une boutique minimaliste en plein désert texan, aux Etats-Unis, le long de la route 90, ou comme le duo Viktor & Rolf qui a inauguré un superbe point de vente “à l’envers” au centre de Milan avec des sols devenus des plafonds et inversement.
Et le joaillier Mauboussin qui n’hésite pas à promouvoir ses bagues à 1.190 euros (prix affiché !) dans le métro, un lieu pourtant quelque peu boudé par sa clientèle de prestige.
Du luxe à la luxure, il n’y a que deux petites lettres d’écart et les marques haut de gamme quittent parfois le droit chemin pour s’engouffrer dans les profondeurs sulfureuses du sexe, de la violence et de l’argent. Certes, la vague du porno-chic était une mode au tout début des années 2000 avec, notamment, la campagne de Gucci révélant un pubis taillé en forme de G, mais les créateurs y reviennent régulièrement à l’instar de Tom Ford en 2007 pour la promotion de son tout premier parfum pour homme et de Marc Jacobs qui, en 2011, pose nu pour sa propre fragrance Bang.
Du luxe à la luxure, il n’y a que deux petites lettres d’écart et les marques haut de gamme quittent parfois le droit chemin pour s’engouffrer dans les profondeurs sulfureuses du sexe, de la violence et de l’argent. Certes, la vague du porno-chic était une mode au tout début des années 2000 avec, notamment, la campagne de Gucci révélant un pubis taillé en forme de G, mais les créateurs y reviennent régulièrement à l’instar de Tom Ford en 2007 pour la promotion de son tout premier parfum pour homme et de Marc Jacobs qui, en 2011, pose nu pour sa propre fragrance Bang.
Du luxe à la luxure, il n’y a que deux petites lettres d’écart et les marques haut de gamme quittent parfois le droit chemin pour s’engouffrer dans les profondeurs sulfureuses du sexe, de la violence et de l’argent. Certes, la vague du porno-chic était une mode au tout début des années 2000 avec, notamment, la campagne de Gucci révélant un pubis taillé en forme de G, mais les créateurs y reviennent régulièrement à l’instar de Tom Ford en 2007 pour la promotion de son tout premier parfum pour homme et de Marc Jacobs qui, en 2011, pose nu pour sa propre fragrance Bang.
Du luxe à la luxure, il n’y a que deux petites lettres d’écart et les marques haut de gamme quittent parfois le droit chemin pour s’engouffrer dans les profondeurs sulfureuses du sexe, de la violence et de l’argent. Certes, la vague du porno-chic était une mode au tout début des années 2000 avec, notamment, la campagne de Gucci révélant un pubis taillé en forme de G, mais les créateurs y reviennent régulièrement à l’instar de Tom Ford en 2007 pour la promotion de son tout premier parfum pour homme et de Marc Jacobs qui, en 2011, pose nu pour sa propre fragrance Bang.
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