Paroles d'experts Paroles d'experts Une avalanche de nouvelles émissions Les temps sont durs, tant pour les investisseurs que pour les banquiers centraux. C'est que la conjoncture ne se redresse pas comme prévu. Personne ne peut donc prédire quelle direction prendra la politique monétaire. Afin d'éviter tout risque, la majorité préfère consolider ses avoirs. Ce qui pousse les taux d'intérêt partout à la hausse. Ceux en dollar ont atteint leur plus haut niveau depuis deux ans !
Paroles d'experts Paroles d'experts Marchés tourmentés Jamais les banquiers centraux anglo-saxons n'avaient imaginé que leurs propos irréfléchis causeraient de telles calamités. Le chaos et l'incertitude prévalent sur les marchés. La situation est explosive et pourrait dégénérer. Le marché des changes en est la principale victime.
Paroles d'experts Paroles d'experts Violents soubresauts Etrange. Dès que les chiffres conjoncturels s'améliorent, les marchés plongent. Selon les analystes, la réaction est due aux remaniements stratégiques.
Paroles d'experts Paroles d'experts Les émissions déferlent toujours Depuis peu, les banques centrales occidentales ont changé leur mode de communication. Auparavant, personne ne savait ce qu'elles préparaient. On devait se contenter des minutes nébuleuses publiées avec retard, pour autant qu'elles le soient. Tout le monde adaptait sa politique d'investissement en fonction de l'interprétation qu'on en donnait. La Fed a bouleversé cette habitude il y a deux mois.
Paroles d'experts Paroles d'experts La confusion des banques affecte les toutes nouvelles co-co Les derniers chiffres le prouvent, la reprise se confirme. Du moins au niveau macroéconomique. Car personne ne semble s'attarder au fait qu'en Europe le nombre de chômeurs et de faillites ne cesse d'augmenter.
Paroles d'experts Paroles d'experts Les obligations ont de nouveau la cote C'est du moins ce qu'on peut déduire du flux de capitaux qui s'engouffre dans les fonds spécialisés.
Paroles d'experts Paroles d'experts Pas de vacances pour le secteur financier C'est que les banques ont de nombreux soucis. Ce qui s'est décidé peu après le déclenchement de la crise en 2007 semble aujourd'hui soit impraticable, soit insuffisant. Ne perdons pas de vue que depuis tout ce temps, la majorité des banques ont recouvré leur indépendance et ne souhaitent plus se soumettre à de nouvelles directives.