Des capteurs belges dans la fusée d’Artemis
Après deux tentatives ratées cet été, la Nasa a finalement réussi le lancement de sa méga-fusée ce matin pour la mission Artemis, même si une fuite de carbutant a retardé le lancement. Ce premier départ marque le départ d’un programme qui doit permettre d’établir une présence humaine durable sur la lune. Mais cette présence humaine devra faire face à de nombreaux défis dont les radiations cosmiques. Ces radiations sont mesurées grace à des capteurs dont certains seront étudié chez nous, en province d’Anvers.
Après deux tentatives ratées cet été, la Nasa a finalement réussi le lancement de sa méga-fusée ce matin pour la mission Artemis, même si une fuite de carbutant a retardé le lancement. Ce premier départ marque le départ d’un programme qui doit permettre d’établir une présence humaine durable sur la lune. Mais cette présence humaine devra faire face à de nombreaux défis dont les radiations cosmiques. Ces radiations sont mesurées grace à des capteurs dont certains seront étudier chez nous, en province d’Anvers.
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