Le holding a enregistré une hausse de son bénéfice. L’action ouvre légèrement en baisse.
Le bénéfice gagne 15%, pour s’établir à 459,9 millions d’euros.
“Des résultats record chez DEME, Delen Private Bank et la Banque Van Breda” contribuent à ce chiffre, explique l’entreprise. Le bénéfice des secteurs de base a ainsi augmenté de 26%, pour atteindre 474,5 millions d’euros.
“Le rendement total des capitaux propres est conforme à notre objectif de croissance moyenne de 10%”, précise le groupe encore.
Le dividende devrait être augmenté à 3,80 euros (+12%), lors de l’Assemblée générale en mai.
Pour 2025 le groupe s’attend à ce que la dynamique positive des secteurs de base continue.
Proximus
Un chiffre d’affaires en hausse, mais un bénéfice en baisse pour la télécom publique. L’action gagne près d’1,5% à l’ouverture et repasse la barre des 6 euros, une première en trois mois.
1,69 milliard d’euros : le chiffre d’affaires trimestriel de Proximus a augmenté de 10,2%. C’est mieux que les prévisions des analystes (1,65 milliard).
Mais le bénéfice a été sous pression : à 80 millions d’euros, il est en baisse de 1,5% en un an. Mais c’est néanmoins le double des attentes du marché (37 millions).
Le flux de trésorerie disponible à quant à lui fortement chuté : de 96 à 10 millions d’euros.
Pour ces résultats, le Conseil d’administration propose de verser un dividende de 0,60 euros par action.
Pour 2025, le groupe avance notamment le terme “stable”, pour la croissance des chiffres.
Des mauvaises surprises chez l’entreprise postale, publique aussi. Pas de dividende cette année. Cela et des perspectives décevantes : l’action s’effondre, avec une baisse de 18% à l’ouverture.
Le chiffre d’affaires augmente de 1,6% en 2024, à 4,34 milliards d’euros. Sur le quatrième trimestre, il augmente de plus de 9%, à 1,335 milliard.
L’entreprise est en perte sur l’année, à hauteur 209,2 millions d’euros. Ce sont notamment les dépréciations de Radial US qui en sont responsables. Pas de bénéfice… pas de dividendes.
Pour 2025, la direction s’attend à une baisse du résultat opérationnel récurrent.
