“On ne se dispute pas les invendus alimentaires, il faut se baisser pour les ramasser”

Revendre les invendus alimentaires pour limiter le gaspillage, une barrière à l’aide alimentaire? Les secteurs associatif et privé semblent « se disputer » ces denrées aujourd’hui fort convoitées. Elles se font rares, déplorent plusieurs acteurs de l’aide alimentaire de la capitale. Et pourtant, « 87% des invendus de la grande distribution sont encore jetés à Bruxelles », précise Marcel Hulin, porte-parole de Happy Hours Market.