Omega est indispensable pour les Jeux olympiques et voici pourquoi
Paris accueillera bientôt les 30e Jeux olympiques d’été. Omega en sera le chronométreur officiel, comme à chaque édition depuis celle de 1932 à Los Angeles. Trends Style remonte le temps.
Qui a gagné ?
Aux Jeux olympiques, c’est souvent un appareil Omega qui en décide. En 1952, seule la photo-finish a vu que l’Australie avait battu le Danemark en 2 000 mètres en tandem. Aujourd’hui, des cellules photoélectriques et des caméras haute vitesse captent le moindre mouvement.
Trois, deux, un, partez !
C’est aux Jeux de 1932 à Los Angeles que le Comité international olympique (CIO) a opté pour la première fois pour une marque de montres unique, affublée du titre de « chronométreur officiel ». Omega y envoie un seul chronométreur, armé de 30 chronomètres. Ils sont précis au dixième de seconde et disposent d’une fonction rattrapante.
‘Lorsque la différence entre une médaille d’or et une médaille d’argent s’exprime en millièmes de seconde, la précision est cruciale’
Nayla Hayek, Chair of the Board of Directors, Swatch Group
Armés… mais inoffensif
Entre-temps, le traditionnel coup de pistolet a été remplacé par un dispositif rationalisé qui combine son et lumière pour donner le même signal de départ à tous les athlètes.
Haute précision
Aux Jeux de Melbourne de 1956, le Swim-Eight-O-Matic – avec un compteur électromécanique pour chaque couloir – permet d’améliorer la précision en natation. En 1984, Omega introduit à Los Angeles un système de détection des faux départs. Le bloc de départ calcule le temps de réaction à partir d’une pression des jambes de 29 kilos (27 kilos pour les femmes). Les athlètes ne sont pas autorisés à bouger avant 0,100 seconde après le signal de départ.
Esprit d’équipe
Le CIO et Omega fonctionnent en tandem. Compétition de bobsleigh aux Jeux d’hiver de 2006 à Turin : Jacques Rogge, président du CIO, Valentino Castellani du comité d’organisation, Stephen Urquhart, président d’Omega, et Nick Hayek, directeur général de Swatch Group. Le 15 mai 2017, Nick Hayek et Thomas Bach, président du CIO, ont annoncé la prolongation de leur partenariat jusqu’en 2032. Omega sera alors le chronométreur officiel des Jeux olympiques depuis 100 ans.
À l’heure parisienne
Omega propose la Speedmaster Chronoscope Paris 2024 en quatre modèles, chacun dans les couleurs or, noir et blanc caractéristiques des Jeux. Le logo des Jeux de Paris et les anneaux olympiques sont gravés au dos. La version en or coûte 57.000 euros.
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