En images: du whisky dans la potion magique?

Né de la plume de René Goscinny et du crayon d’Albert Uderzo, le petit Gaulois fait son apparition en octobre 1959 dans le magazine Pilote.
Un livre de cuisine, huit dessins animés et une centaine de licences accordées : Astérix, c’est aujourd’hui beaucoup plus qu’une simple BD. La preuve, les quatre longs-métrages totalisant quelque 70 millions d’entrées à travers le monde et un parc d’attractions aux 72 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2012, en hausse de 10%.
Après être allé traîner ses moustaches blondes chez les Normands, les Helvètes et les Corses, Astérix s’en va-t-en guerre chez les Pictes. Le contenu de l’album qui sortira le 24 octobre en librairie est tenu aussi secret que les recettes énergisantes de Panoramix. Il se murmure cependant qu’on y trouvera des kilts, du whisky et… un 35e banquet. Evidemment.
Après le demi-succès du Ciel lui tombe sur la tête, Astérix a attendu huit années avant de faire son come-back. Astérix chez les Pictes est le premier album réalisé sans un seul des deux créateurs de la série.
“Ce serait égoïste d’interdire à Astérix de me survivre, mais je compte préparer ma succession le mieux possible”, déclarait Albert Uderzo en 2009. Cinq ans plus tard, l’octogénaire présente son duo gagnant. Et pas des moindres : Didier Conrad, dessinateur, et le scénariste Jean-Yves Ferri.
5 millions : C’est l’objectif de ventes que se sont fixé les Editions Albert René pour Astérix chez les Pictes. Dont deux millions d’exemplaires en français. 107 langues et dialectes : C’est le nombre de traductions de la série qui lui a valu d’être publiée dans le Livre Guinness des records mondiaux en 2011 comme la série BD la plus traduite au monde.
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