La saga politique italienne, qui a mené finalement à l'intronisation d'un gouvernement populiste et eurosceptique, fait resurgir le spectre d'une implosion de la zone euro. Le cas grec a certes montré que si des partis extrémistes peuvent annoncer vouloir changer radicalement la politique intérieure et l'Europe, les réalités économiques et juridiques ne peuvent être niées une fois au pouvoir.