Ces derniers mois, les différentes autorités du pays ont massivement ouvert leur portefeuille pour apporter un soutien dans le cadre de la crise du coronavirus. Une partie de cet argent a terminé dans le milieu criminel, chez des fraudeurs ou des entreprises quasi en faillite avant la crise. De 10 à 15% de ces aides ont fait l'objet d'abus, selon le collecteur de données des entreprises Graydon.