Pour le bureau d'experts Syndex, consultant mandaté pour éclairer le comité d'entreprises européen d'ArcelorMittal, c'est bien la fermeture de la phase à chaud qui a fragilisé tout l'édifice en aval, peut-on lire dans le journal Le Soir ce mercredi. En outre, le plan de modernisation des quelques lignes à froid restantes est jugé peu crédible par le bureau.