Perte de revenus, frais fixes qui continuent de tourner, investisseurs qui se recentrent sur leurs participations et se montrent frileux, montants levés réduits et valorisations en berne. Le microcosme des start-up belges craint la crise : la majorité des jeunes pousses n'aurait pas plus de six mois de cash en réserve. Cette crise sonne-t-elle la fin de l'âge d'or des start-up belges ?