Dossier Fortis, suite mais pas fin ? A cause d'une manoeuvre de Me Modrikamen, l'Etat belge avait dû envoyer toutes les procédures contre l'arrêt au domicile de milliers d'actionnaires, à chaque fois dans leur langue. Coût total de l'opération : 250.000 euros. Un montant que la SFPI, bras armé financier du gouvernement, réclame aujourd'hui à l'avocat d'affaires. Celui-ci dénonce une "expédition punitive" de l'Etat contre les petits actionnaires.