L'inflation en Turquie a atteint de nouveaux sommets en mars à 61,14% sur un an, en hausse de 5,46 points en un mois, aggravée par la guerre en Ukraine, selon les statistiques officielles.
L'inflation a continué de grimper en Turquie en février, atteignant 54,4% sur un an, un record depuis janvier 2002, selon les statistiques officielles publiées jeudi.
La hausse des prix à la consommation en Turquie a franchi un nouveau cap en janvier, frôlant les 50% sur un an, un chiffre au plus haut depuis avril 2002 dû à l'effondrement de la livre turque en 2021.
L'année commence mal pour la Turquie avec une inflation à plus de 36% sur un an en décembre, un niveau record depuis 2002, conséquence de la politique menée par le président Recep Tayyip Erdogan au nom de "l'indépendance économique" de son pays.
Les Etats-Unis ont commencé à se replier sur eux-mêmes du temps de Barack Obama. Mais le slogan "America First" cher à Donald Trump a renforcé la probabilité de conflits à divers endroits de la planète.
Le président Recep Tayyip Erdogan a appelé lundi les Turcs à boycotter les produits français, en pleine dispute avec Paris au sujet du traitement des musulmans de France et après la multiplication des manifestations et appels au boycott dans plusieurs pays du Moyen-Orient.
Les présidents turc Recep Tayyip Erdogan et russe Vladimir Poutine ont célébré lundi en Turquie le franchissement d'une étape-clé dans la construction d'un important gazoduc qui relie leurs deux pays via la mer Noire et illustre le rapprochement entre Ankara et Moscou.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a inauguré à Istanbul un nouvel aéroport aux dimensions pharaoniques qui symbolise son appétit pour les méga-projets d'infrastructures et doit devenir à terme le plus grand du monde.
L'effondrement de la livre et de l'économie nationale n'est pas sans risque pour les banques turques, et pour celles qui leurs sont liées. Mais le tableau n'est peut-être pas si sombre...
Angela Merkel et Recep Tayyip Erdogan ont affiché un timide rapprochement entre leurs deux pays malgré les "profondes différences" qui demeurent, en particulier concernant les droits de l'homme et de la liberté de la presse en Turquie.
La Turquie, qui traverse une grave crise monétaire, va connaître dans les années à venir une baisse de sa croissance et une inflation élevée, selon les prévisions annoncées jeudi par le ministre des Finances.
Le président truc Recep Tayyip Erdogan a de nouveau vertement critiqué la banque centrale turque vendredi, au lendemain d'une décision de cette dernière de relever son principal taux directeur. A des membres de son parti, Erdogan a laissé entendre que sa patience à l'égard de la politique de la banque centrale "a des limites".
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a interdit jeudi les ventes et locations de biens mobiliers et immobiliers en devises étrangères, une mesure visant à soutenir la livre qui s'est écroulée cette année.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan dirigera le fonds souverain dont son pays s'est doté en 2016 et qui gère des dizaines de milliards de dollars, selon un décret présidentiel publié mercredi.
Le taux d'inflation en Turquie a atteint près de 18% en août sur un an, un record depuis 2003, selon les chiffres officiels publiés lundi au moment où l'économie turque est fragilisée par l'effondrement de sa devise.
La livre turque poursuivait jeudi sa dégringolade, perdant plus de 10% de sa valeur depuis le début de la semaine, sur fond de défiance persistante des marchés et de mises en garde contre un risque de récession.
Grâce à la crise qui l'oppose aux Etats-Unis, le président turc Recep Tayyip Erdogan peut imputer la seule responsabilité des problèmes économiques croissants de la Turquie à un ennemi extérieur plutôt qu'à son gouvernement, estiment des analystes.
La Turquie a maintenu vendredi l'assignation à résidence d'un pasteur américain, en dépit de nouvelles menaces de sanctions des Etats-Unis, qui ont mis à mal la livre turque et auxquelles Ankara a promis de répliquer.
Le ministre turc des Finances, Berat Albayrak, a affirmé jeudi que son pays émergerait "encore plus fort" de la crise monétaire qu'il traverse, ajoutant qu'aucun plan d'aide du Fonds monétaire international n'était dans les tuyaux.