ArcelorMittal est l'entreprise qui a le plus profité des intérêts notionnels en 2011, déduisant 1,597 milliard d'euros, affirme le PTB dans une étude. Au total, les vingt entreprises ayant le plus utilisé le système ont réalisé ensemble un bénéfice avant impôts de 7,9 milliards d'euros. La perte pour les finances publiques belges s'élève à 2,38 milliards d'euros, si on calcule l'impôt des sociétés (33,99%) à partir des intérêts notionnels déduits.