Pierre-Alain De Smedt, président de la FEB, s'est fait plutôt discret. Il laisse Rudi Thomaes, son administrateur délégué, critiquer l'index et les mesures budgétaires, pour se concentrer sur les négociations sociales. Il revient sur ses relations avec Di Rupo Ier... et ses craintes quant aux effets du budget sur les entreprises.