Emmanuel Macron et le gouvernement subissaient mercredi un flot de critiques de l'opposition et des syndicats de General Electric, accusés d'être responsables d'un "désastre" industriel et social après l'annonce par GE de la suppression de plus d'un millier d'emplois en France.
L'annonce mardi de la suppression de plus de 1.000 emplois chez General Electric intervient moins de cinq ans après son rachat de la branche énergie d'Alstom et dans la foulée de multiples mises en garde sur l'activité des sites de Belfort.
Le géant américain General Electric (GE) a confirmé mardi envisager la suppression de plus de 1.000 postes en France, dans la branche turbines à gaz et au sein des services supports, principalement sur le site de Belfort et en région parisienne.
La Commission européenne a infligé lundi une amende de 52 millions d'euros au conglomérat industriel américain General Electric (GE) pour lui avoir fourni des informations inexactes en 2017, lors du rachat du fabricant danois de pales d'éoliennes LM Wind Power.