Les hausses et les baisses des actions sont beaucoup plus largement déterminées par la psychologie des foules, par la peur et la cupidité, que par des considérations véritablement économiques.
C'est déjà difficile, pour les grandes banques, de survivre à la baisse des taux tout en investissant pour affronter la digitalisation du marché. Mais pour les petites, c'est vraiment dur.
La Banque nationale a peur. La hausse continue des prix immobiliers depuis 30 ans l'inquiète. Elle vient de prendre des mesures qui devraient refroidir le marché et renchérir le coût des crédits immobiliers.