L'accord technique obtenu mardi entre la Grèce et les institutions créancières (UE, BCE, FMI et Mécanisme européen de stabilité), et qui attend l'aval de ses partenaires européens, doit permettre au pays de bénéficier d'un nouveau plan d'aide en échange d'un nouveau train de réformes. En voici les principaux enjeux.