Une année n'est pas l'autre. Alors qu'il avait terminé 2019 sur un gain de plus de 20% et entamé la nouvelle année sur les chapeaux de roue, le Bel 20 a finalement bien mal terminé la décennie. L'indice vedette de la Bourse de Bruxelles achève 2020 sur une baisse de 8,46%. Une "performance" à laquelle la pandémie de Covid-19 n'est bien sûr pas étrangère.
Le portefeuille mixte d'actions et d'obligations est la stratégie de prédilection de l'investisseur moyen depuis des décennies. Une stratégie toujours valable selon Didier Saint-Georges, de Carmignac, mais pour des raisons différentes.
Les Bourses mondiales savouraient lundi la victoire du démocrate Joe Biden à l'élection présidentielle américaine, laissant de côté la dégradation de la situation sanitaire aux Etats-Unis et en Europe.
La pandémie de coronavirus a chamboulé les Bourses et bouleversé l'économie. Alors que le déconfinement se précise et que les marchés reprennent leurs esprits, l'heure est venue de faire le point sur votre portefeuille...
Surmenés, les traders? La question est posée très sérieusement par certains acteurs des grandes Bourses européennes, qui réfléchissent à un potentiel raccourcissement des séances de marché.
Vous trouvez que les choses vont mal en ce moment ? Vous trouvez que les nouvelles distillées par les médias sont négatives ? Si ce n'est absolument pas votre cas, alors toutes mes félicitations, je peux vous annoncer que vous n'êtes pas un être humain mais une... action.
L'exercice de valorisation repose sur des critères en partie subjectifs mais permet d'objectiver la relation patrimoniale entre les actionnaires et l'entreprise. Le suivi de cette valorisation offre aussi au management une vue sur les actions à entreprendre afin de renforcer les structures matérielles et immatérielles de l'entreprise.
Les Bourses chinoises et japonaise reprenaient des couleurs mardi après les annonces de la Réserve fédérale américaine pour limiter les conséquences économiques du Covid-19 et un appel de Pékin à favoriser la reprise du travail.
La Belgique est confinée depuis ce mercredi. La France l'est déjà depuis un jour, l'Italie l'était avant elle, sans oublier l'Espagne et bien entendu la Chine. Depuis quelques jours, la question que se posent certains commentateurs est : pourquoi ne ferme-t-on pas aussi la Bourse ?
Francfort, Paris, Milan, Madrid...: les principales Bourses européennes affichaient un net recul ce lundi matin, suite aux inquiétudes liées au coronavirus.
La crainte d'un krach imminent a remplacé la chasse au record. Est-il temps de paniquer ? L'histoire récente des pandémies mondiales offre peut-être déjà un début de réponse. Tout comme l'action éventuelle des banques centrales.
Les bourses européennes ont dévissé à l'ouverture, vendredi matin, en raison des craintes liées à l'épidémie de coronavirus. A 09h15, le Bel 20 avait déjà perdu 4% (-4,03%).
La purge se poursuivait mercredi sur les marchés boursiers européens, inquiets de la propagation du nouveau coronavirus en Europe et de ses répercussions économiques.
Les Bourses ont paniqué ce lundi, tous les indices boursiers sont passés au rouge... Après avoir ignoré la menace du coronavirus pendant plus d'un mois, les investisseurs semblent se réveiller.
L'indice de référence de la Bourse de Bruxelles, le Bel 20, a terminé la séance de lundi en forte baisse, de 3,94%. Il s'agit de la plus importante perte sur un jour depuis juin 2016, après le référendum sur le Brexit.