L'ouverture des données financières prévue dans la directive PSD2 a permis d'atteindre une meilleure visibilité sur nos comptes de paiement. De nouvelles applis ont vu le jour pour jouer un rôle de banquier ou comptable " de poche ". Cependant, bien que ces nouvelles fintechs aient amélioré l'expérience client, l'open-banking est toujours en chantier et tarde à délivrer ses promesses.
Forte de sa licence bancaire européenne, la petite banque digitale se positionne désormais aussi comme fournisseur de solutions bancaires sur-mesure en marque blanche.
Presque la totalité des Belges (95%) affirment que leur manière de consommer et d'économiser a changé après le cap de la quarantaine, selon une étude réalisée auprès de 1.000 personnes par la banque en ligne Aion. Ce type de clients semble par contre mal préparé face à la succession, avec 70% de sondés n'ayant rien planifié en la matière et deux tiers n'ayant pas mis en place de testament.
Si vous cherchez, en Belgique, deux "game changers" dont le "business model" innovant défie le secteur financier, vous tomberez inévitablement sur Aion et Cake. "Créer de la valeur pour le client, c'est bien plus que leur proposer une appli sympa."
C'est une toute bonne pioche et la preuve que la banque numérique disponible par abonnement veut s'installer durablement dans notre pays : Aion Bank vient de nommer Kim Van Esbroeck au poste de directrice "pays" (dit plus simplement : CEO belge).
Consommer des services bancaires comme on consomme des séries télé : c'est ce que propose Aion, première banque belge 100 % digitale fonctionnant uniquement sur abonnement.