Dans un document envoyé aux autorités belges, Brussels Airlines tente de démontrer que, bien qu'aux mains de l'allemande Lufthansa, elle demeure un moteur essentiel de l'économie belge, rapporte L'Echo. "On estime que 50% de la capacité long-courrier de l'aéroport de Bruxelles disparaîtrait si Brussels Airlines n'était pas présente", signale la note.