Jones Lang LaSalle Belux perd-il la tête ?

Norbert Müller, le directeur Capital Markets pour l’Europe de Jones Lang LaSalle, homme au caractère bien trempé, fait un pas de côté. Il prend un congé sabbatique de (minimum) six mois.

Après Catella et DTZ, c’est le leader mondial Jones Lang LaSalle qui voit sa tête belge prise d’envies de changer d’air. Norbert Müller, le directeur Capital Markets pour l’Europe au caractère bien trempé, fait un pas de côté. Il prend un congé sabbatique de (minimum) six mois.

Raison invoquée : il n’est plus sur la même longueur d’onde que le board londonien du conseil international en immobilier en matière de stratégie à suivre par les temps troublés qui courent sur le marché de l’investissement. Norbert Müller envisagerait même de créer ou de reprendre une société et de tourner définitivement le dos à son strapontin actuel.

Ce n’est pas tout. Depuis quelques mois persiste dans le milieu la rumeur que Vincent Querton, l’autre figure de proue du leader belge en conseil immobilier, arrivé voici huit ans déjà pour remplacer Michel Pilette en tant qu’administrateur délégué de Jones Lang LaSalle Belux, aurait lui aussi l’envie d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte.

Son CV se serait notamment retrouvé sur la table du grand patron de Redevco, Jaap Blokhuis, à la recherche d’un ténor belge pour remplacer Marc Van Heddeghem, en fin de carrière. Le poste a finalement été attribué à Eric Van Dyck… l’ex-patron belge du concurrent direct, Cushman & Wakefield.

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