En septembre 2016, Caterpillar annonçait son départ de Charleroi, laissant sur le carreau quelque 3.000 travailleurs. Un séisme social. Deux ans et demi plus tard, le Forem nous apprend que les deux tiers des anciens de Caterpillar ont retrouvé un emploi, et pour la plupart, un emploi à durée indéterminée. Le taux de reconversion est similaire parmi les entreprises de sous-traitance, touchées par le départ de la multinationale américaine.
ÉDITO