Les ingrédients du ” low-end retail “

Des prix bas

En raison d’une politique d’achat ” en parallèle “, via des grossistes ou des traders, sur des marchés étrangers où il existe des lots disponibles en surstock.

Des produits qui tournent

Relevant de l’entretien, du soin, de l’hygiène, de la déco, des boissons, des snacks, etc., ils sont vendus en très grandes quantités et l’assortiment change très rapidement au gré des opportunités d’achat favorables. Il faut aussi surprendre le client à chaque visite. Le nombre de catégories est limité, tout comme l’offre proposée dans chaque catégorie. Les produits locaux sont exclus des rayons.

Des emplacements secondaires

Les low-end retailers s’implantent dans des zones B ou C moins coûteuses (en dehors des centres-villes et shopping centers). Les magasins sont souvent exploités ” en propre “.

Des promotions limitées

Ces magasins font surtout usage du folder.

Une stratégie monocanal

Rares sont les low-end retailers qui se lancent dans l’e-commerce. C’est qu’il faut maximiser les achats d’impulsion, et puis l’amortissement des frais d’expédition serait difficile vu le prix des articles. La croissance de ces enseignes passe par l’ouverture très rapide de magasins.

Une logistique bien huilée

Plus elle est just-in-time, plus elle permet d’attribuer l’espace disponible en magasin à l’assortiment et à la vente, et d’assurer des rotations favorables.

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