Birkin toujours Gainsbourg

© PG/ D. Ghosarossian

Depuis la disparition de Gainsbourg en 1991, Jane Birkin revient périodiquement sur les traces de son ” Serge “. Dans le premier volume d’une récente autobiographie, Munkey Diaries, consacré aux années 1957-1982, elle revient sur leur amour passionnel mais aussi violent. Leur séparation aura lieu en septembre 1980. Pourtant, au fil des ans, elle va réinterpréter le répertoire gainsbourgien de différentes manières, notamment dans l’album et la tournée Arabesque au début des années 2000, les classiques comme Elisa ou Amour des feintes étant arrangés en mode oriental. Cette fois-ci, la Franco-Britannique présente Birkin/Gainsbourg : symphonie intime : un hommage aux chansons du compositeur, accompagné du pianiste Nobuyuki Nakajima et de sept autres musiciens de chambre . Une manière de rappeler aussi que Gainsbourg s’est inspiré plus d’une fois des méandres de la musique classique. Un album du même principe, sorti en 2017, témoigne de beaux moments comme Baby Alone In Babylone, paroles de Gainsbourg, musique de Brahms…

Le 20 février au Cirque royal et le 21 février au Théâtre Royal de Mons, www.livenation.be

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