L’inoccupation sur le marché bruxellois de l’immobilier de bureau s’élève aujourd’hui à près de 1,6 million de m², chiffre DTZ. Un quart de l’inoccupation concerne des bâtiments de moins de cinq ans, situés dans le centre.
En dépit de quelques signes de reprise, le marché immobilier bruxellois des bureaux n’a pas encore retrouvé son essor, avec un taux d’inoccupation plus élevé que jamais, estiment les responsables du département de recherche du conseiller international en immobilier DTZ.
L’inoccupation sur le marché bruxellois de l’immobilier de bureau s’élève aujourd’hui à près de 1,6 million de m². Un quart de l’inoccupation concerne des bâtiments de moins de cinq ans, situés dans le centre.
Pour ce qui concerne le marché immobilier d’investissement, les difficultés subsistent également. Les chiffres, en l’occurrence 1,3 milliard d’euros, de l’investissement immobilier en Belgique à ce jour restent très faibles, souligne DTZ Research. La prime de risque a fait son retour et les investisseurs se focalisent essentiellement sur des biens immobiliers caractérisés par un cash-flow garanti.
Une autre tendance perceptible depuis 2007 est la diversification des actifs. Aujourd’hui, l’immobilier de bureau est le moins attrayant comme investissement immobilier, tant à Bruxelles que partout dans le monde.
Trends.be, avec Belga
